Alimentation et dépense physique
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Ma question concerne les relations entre alimentation et dépense physique. Intuitivement, il me semble que, dans les périodes où je me dépense plus physiquement (notamment les vacances), je digère mieux et je suis prêt à supporter des aliments qui ne me conviennent pas habituellement. Il m'arrive de penser que, si j'avais fait un travail plus physique, bucheron (à l'ancienne, sans tronçonneuse) par exemple, je n'aurais peut-être pas eu les mêmes problèmes de santé et pas fait les mêmes intolérances alimentaires. Il ne fait pas de doute que le niveau de dépense physique conditionne la quantité de nourriture dont nous avons besoin, peut-il aussi conditionner la nature des aliments ?
Que disent les théoriciens (Seignalet et autres) sur ce sujet ?
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- Colocataire
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comme tu le notes dans ton post, plus on dépense en energie, plus le corps demande de carburant.
concernant maitenant la dépense physique et la digestion, là, je ne m'avancerai pas.
je peux simplement te parler de mon expérience. je pratique le sport très régulièrement depuis mon enfance. d'abord en compétition, et maintenant, en loisir pur. la dépense physique est devenue un besoin pour moi. Et pour plusieurs raisons.
quand faire du sport fait partie de son mode de vie, les sensations liées à la pratique sont impossibles àà retrouver ailleurs.
ainsi, si je ne fais pas de sport pendant un jour, je ne me sens pas bien, il me manque l'effet de la dépense, qui rend calme et reposé.
et puis est apparue la SPA, et avec les années, les désagréments : les crises douloureuses au point de ne plus pouvoir marcher.
avec la prise des antiinflammatoires, les douleurs sont atténuées pendant les crises.
dès lors pour moi le sport est devenu salutaire. en effet, j'ai remarqué que pendant ces périodes de crise, si je ne m'oblige pas à me bouger, alors ensuite c'est pire, ou la crise est longue.
apres un moment sans sport, je suis courbaturée constamment, mes douleurs augmentent la nuit, le jour, je ne retrouve plus les amplitudes de mouvement habituels...
en fait, quand on peut encore le faire, pratiquer du sport quotidiennement permet au corps de ne pas trop se gripper. et c'est déjà énorme.
d'autre part, la pratique physique est saine pour l'esprit, et la motivation est importante dans la lutte contre la maladie.
je suis certaine que si je n'avais pas continué à avoir une pratique sportive journalière, la maladie aurait pris le dessus et son évolution n'aurait eu aucune entrave (ma cage thoracique est aussi atteinte).
bref, selon mon expérience, la pratique sportive stimule le corps et toutes ses fonctions, elle ne peut etre que positive.
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- Colocataire
- Messages : 47
- Enregistré le : 15 août 2006, 00:00
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Je suis convaincu comme toi de ce que le sport améliore la vie en général et la santé en particulier. Ma question était plus précise, mais je l'ai sans doute mal exprimée. Je vais essayer d'être plus clair.
Le régime Seignalet définit de manière très précise quelles catégories d'aliments sont saines pour l'organisme et lesquelles ne le sont pas. Ce jugement de valeur sur les aliments est-il modifié, voire remis en question, en fonction du degré d'activité physique ? En d'autres termes, y a-t-il un régime différent pour le travailleur physique et pour le travailleur intellectuel ? On pourrait imaginer, par exemple, que certaines catégories d'aliments, comme les céréales, qui encrassent l'organisme des individus ayant une activité physique réduite, pourraient être mieux tolérées en cas d'activité physique intense et contribuer à répondre aux forts besoins énergétiques dans ce cas.
Seignalet et les autres théoriciens se sont-ils prononcés sur cette question ?
Merci de vos lumières.
- dolly01
- Colocataire
- Messages : 893
- Enregistré le : 16 mars 2009, 16:46
- Citation : nous devons donner ,non seulement ce que nous avons ,mais aussi ce que nous sommes !
Re: Alimentation et dépense physique
un poison reste un poison que l'on court ..que l'on marche ..que l'on reste inactif !...mais l'avantage de bouger c'est de mettre en route un mecanisme d'emonctoire comme les poumons,la peau et augmenter le metabolisme de base..donc favoriser les echanges dont l'elimination ..d'ou le bienfait de l'activité physique !
mais je trouve le raisonnement dangereux de dire" puisque j'elimine plus j'ai le droit de m'empoisonner "
et l'on comprendra que l'inactivité profite a l'encrassage ..c'est pourquoi une hygiene alimentaire est a appliquer ds tous les cas de figure
maintenant l'on sait que pour l'activité sportive les sucres lents sont a privilegier .;ainsi que les aliments anti-acide ..tel la fameuse banane des tennis men pendant leur pose !!! ..
bisous dolly
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