KOUSMINE N'EST PAS UNE ENNEMIE, AU CONTRAIRE
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KOUSMINE N'EST PAS UNE ENNEMIE, AU CONTRAIRE
Je crois très prétentieusement que cela méritait un nouveau sujet, même si son titre risque d’exaspérer momentanément mon espèce d’opposition.
J’ai été personnellement très heureux de pouvair vous casser les pieds avec deux pluriinsaturés car c’est le noyau dur de la méthode Kousmine.
Si Seignalet l’avait fait lui-même, cela aurait rendu ses résultats encore plus ahurissants, j’en suis persuadé sans vouloir aucunement vous offenser, vous ses fidèles.
Ceci a constitué en tout cas mon témoignage de tiré d’affaires.
Points forts de la méthode Kousmine :
• Elle est parfaitement complémentaire de la méthode Seignalet : elle ne la percute en aucun point (à part quelques anachronismes comme des laitages de Suissesses…)
• Elle est instantanée dans sa mise en œuvre : échange standard des graisses nocives par des huiles absolument indispensables.
• Elle améliore l’ensemble du fonctionnement de notre organisme au rythme que l’on peut prévoir d’après les /quelques demi-vies cellulaires/ déjà trouvées (vous pourrez en collecter d’autres).
• Surtout, elle rétablit notre faculté (si importante à notre foutue époque de dictature industrielle) d’éliminer les pires toxiques, ceux que vous appelez les ‘’métaux lourds’’ et que vous me feriez plaisir en appelant dorénavant COMPOSÉS LIPOSOLUBLES (solubles dans les matières grasses et donc à moitié autant dans les membranes (bilipidiques) protectrices de chacune de nos cent mille milliards de cellules : membrane cytoplasmique, membrane du noyau (PC abritant notre matériel génétique), puis les membranes de la dizaine de sortes d’organites (comme les lysosomes, nos éboueurs, les mithochondries, nos centrales énergétiques antigfatigue empruntée à une bactérie concurrente des premières cellules "animales" au tout début de la vie sur terre, etc).
L’expression ‘’métaux lourds’’ (j'ai vu que vous vous en préoccupez) est à combattre, elle aussi, car elle vise à cacher le mécanisme et la puissance de leur dangerosité (voir le /truc du toxicologue/) et complique la prise de conscience de notre invasion par les déjections industrielles ou agroalimenteuses gazeuses liquides et solides les plus dangereuses.
En plus c’est une dénomination idiote de toxicologues captifs, de cuistres en simple physique, car le plus épouvantable en est le béryllium (dans les tubes au néon si cela n’a pas changé depuis ma jeunesse, on ne peut pas s’occupper de tout) qui est ultra-léger.
L’aluminium, cette saloperie neurotoxique majeure est très léger.
L’arsenic, ce promoteur du cancer n’est pas un métal mais un métalloïde, bande de prétentiards égareurs de l’opinion.
Et la flopée des métaux dits ‘’de transition’’ qui rivalisent d’hostilité à notre égard ne sont pas particulièrement lourds.
Il faut donc se décider à parler plutôt de composés liposolubles. Là on comprend le danger et l’on sait où se diriger dans notre lutte pour la survie (comme, au mésolithique, contre l’ours. Pas grand chose de changé finalement dans la condition humaine).
Vous savez, comme d’habitude, la résistance commence par un assainissement du vocabulaire.
Si l’adversaire n’avait pas réussi à nous imposes les plus importants de ses mots de combat, nous n’en serions pas là.
Pourquoi croyez-vous donc que, lorsque j’étais Secrétaire de CHS-CT [une dénomination interminable (imposée, elle aussi) pour cacher soigneusement sa fonction première à savoir l’obscène prévention première des cancers professionnels)], l’INRS (ce machin paritaire et donc patronal) me refusa explicitement (sous la plume de son directeur d’alors, M. Dominique Moyen) la mesure de quelques liposolubilités suspectes [ce qui ne lui aurait pas coûté grand fric (une simple mesure physique de solubilité, comme on en a fait des milliers dans l’eau. Dans l’eau, il y en a des handbooks pleins, épais comme ça)]. Ben oui, Institut de Recherche mon cul, dirait Zazie. Vous voyez bien que cette notion de liposolubilité est névralgique. Elle est même stratégique. Alors mettez-la sur l’étendard de votre révolte contre les pires toxiques qui soient. Les toxiques liposolubles, je les appelle, moi, hypertoxiques car je suis exaspéré par la dénomination lénifiante de ‘’toxiques à long terme’’ (tu parles Charles) employée benoîtement par les toxicologues bon teint (et donc à peu près tous captifs des empoisonneurs par un mécanisme très simple : par l’origine exclusivement industrielle du financement de leurs marchés d’étude auxquels l’État ne participe pas d’un seul centime).
Amical salut, la Compagnie. Je m’absente une dizaine de jours. Cela vous fera un peu de repos de ne plus avoir à réfléchir avec moi.
t
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Re: KOUSMINE N'EST PAS UNE ENNEMIE, AU CONTRAIRE
le Dr Segnaleit s'est inspiré à ma connaissance de 2 personnes principalement de KOUSMINE
et GUY-CLAUDE BURGER
http://www.prevensectes.com/instinc1.htm
[bbvideo=560,315]https://www.youtube.com/watch?v=K_aUgZPiPe8[/bbvideo]
[urlhttps://www.youtube.com/watch?v=-l4ZcrwhjOY] [/url]
[bbvideo=560,315]https://www.youtube.com/watch?v=-l4ZcrwhjOY[/bbvideo]
https://www.youtube.com/watch?v=VDWaDidSBhw
[bbvideo=560,315]https://www.youtube.com/watch?v=VDWaDidSBhw[/bbvideo]
et si on veut savoir plus il y a la version longue
https://www.youtube.com/watch?v=vuzytix59_I
[bbvideo=560,315]https://www.youtube.com/watch?v=vuzytix59_I[/bbvideo]
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Re: KOUSMINE N'EST PAS UNE ENNEMIE, AU CONTRAIRE
Voilà.
D’abord, si l’on ne donne pas à son corps ses 15 g d’acide linoléique et ses 5 g d’acide linolénique (merci, vraiment de m’avoir poussé à réviser), il n’aura pas assez pour renouveler proprement les 20 milliards de cellules qu’il change par jour.
Mais comme il ne faut pas compter sur notre organisme pour se laisser abattre, il va faire la biffe sur les cellules mortes en voie d’élimination. Il va y récupérer les 2 précieux acides gras di- et triinsaturé dont il a absolument besoin pour reconstruire. Ceux-là seront pollués d’entrée et de plus en plus au gré des récupérations successives, ce qui troublera de plus en plus l’harmonie dans la vie sociale très élaborée de nos cellules.
Si l’on apporte, par l’alimentation, les 15 g d’acide linoléique et les 5 g d’acide linolénique (18 et 6 pour Schweigart.max) impeccables (d'huiles de première pression à froid et bios), l’organisme va s’épurer à la même vitesse que celle de sa contamination passée.
Mieux, et c’est cela que j’oubliais de vous dire, chacune des membranes lipidiques va collaborer à l’épuration çar, voyant alors leur propreté, les liposolubles viendront s’y précipiter jusqu’à équilibrage avec leur concentrations dans le voisinage. Et les emplacements qu’ils auront quittés seront investis par l’afflux de nouveaux arrivants poussées à partir des lointains par ce qu’on appelle la diffusion, cette soif de territoires vierges comme celle de nos lointains ancêtres africains à la peau noire et aux yeux bleus (c’est nous qui avons choisi de blanchir pour améliorer un peu notre production de vitamine D sous nos climats par trop avares en ensoleillement). Plus les différences de concentration sont grandes, plus les mouvements sont compulsifs. Quant aux membranes, en prenant leur retraite, elles emporteront, cette fois définitivement, en direction des ténèbres extérieures, leur chargement d'acides gras gavés de liposolubles. Et elles seront remplacées par de fringantes nouvelles venues, qui s'y colleront à leur tour avec toute l'ardeur de la jeunesse.
Tiens, j’y pense avant de vous quitter un petit, nous avons 600 m2 d’entérocytes et 200 m2 d’alvéoles pulmonaires qui ont tous une épaisseur bimoléculaire ! L’alvéole pulmonaire, par exemple, n'est faite que d’une seule cellule. N’est-ce pas un ouvrage rêvé pour notre brave acide linoléique à lui seul ou à peu près ? Voir le petit meccano à base de chaînes de 18 carbones à 36 − 4 = 32 pattes chaussées d’hydrogène (sur les 18, deux fois 2 carbones sautent à cloche-pied) avec lequel je vous ai déjà fait jouer.
‘’Ouala, ouala, ouala, Ouala coum il y bien : Son femme il y jouli Et loui s’occupe di rien’’ (chanson du tirailleur. Risquer sa peau pour les Roumis, ça, c’est très secondaire).
Bonnes "vacances".
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