Hold Up

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manon
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Re: Hold Up

Message par manon »

Dernier message de la page précédente :

Clear on peut poster ici aussi la preuve
Je n’ai pas le dernier j’ai supprimé mes spams
Virus, grippe : attention au diagnostic


Chère lectrice, cher lecteur,
Certains « experts » sur les plateaux de télévision, quand on pensait encore que la France allait être épargnée par la déferlante covid-19, parlaient du SARS-CoV-1 comme d’un « simple rhume monté en épingle » ou d’une « grosse » grippe.
Mais ces deux virus, celui du covid-19 et celui de la grippe saisonnière, sont-ils seulement comparables ?
Si oui, à quel niveau ?
Et avec quelles conséquences ?
Bref : de la nuance, de la nuance et encore de la nuance, voilà ce qu’il faut en ces temps de crises, loin du « tout noir » ou « tout blanc ».
L’un éclipse l’autre
Le virus de la grippe et le SARS-CoV-2 sont tous les deux des virus

Le virus de la grippe et le SARS-CoV-2 sont tous les deux des virus responsables d'infections respiratoires.
Ce sont des virus dits « à ARN », dont l'une des propriétés est de muter (lors de la réplication), c'est-à-dire de se modifier.
Si le SARS-CoV-2 n'a pas beaucoup muté depuis le début de l'épidémie, les virus grippaux évoluent régulièrement d'un point de vue immun.
Pour la grippe et le covid-19, on a le même mode de transmission : via des gouttelettes de salive (projetées lorsqu'on parle, lorsqu'on tousse, lorsqu'on éternue...) et via l’intermédiaire des mains.
La grippe est responsable de 8000 à 15 000 décès chaque année en France tandis que le Covid-19 n'a provoqué "que" 33.000 décès à ce jour.
Il est très contagieux et peu létal.
Toutefois, on a observé qu’il ne peut y avoir en même temps 2 virus avec la même intensité de contagion et d’agressivité.
Résultat : la grippe 2019-2020 s’est soldée en ne provoquant que 8 morts. Ce sont les grands mystères de la Nature ou de la Création !
La grippe saisonnière survient dans une zone plus réduite tandis que le coronavirus a envahi l’ensemble de la planète : c’est une pandémie.
A la vue des symptômes, on pourrait les confondre
Au début de l’infection à SARS-CoV-2, il est difficile de faire la différence entre la grippe et le Covid-19. Les deux pathologies peuvent ainsi entraîner
des symptômes respiratoires (de la toux, en particulier),
de la fièvre,
des maux de tête,
des myalgies (douleurs musculaires), des arthralgies (douleurs articulaires),
voire des troubles digestifs (nausées, vomissements, problèmes de

voire des troubles digestifs (nausées, vomissements, problèmes de transit).
De ce point de vue... on pourrait parler d’une « simple » grippe.
Mais, dans le cas du Covid-19, on peut aussi observer l'apparition de symptômes plus spécifiques tels que l'anosmie (une perte d'odorat) ou l'agueusie (une perte du goût).
Par ailleurs, dans un deuxième temps (vers le 7ème-10ème jour après l'infection), les patients qui souffrent de Covid-19 peuvent voir leur état s'aggraver.
Là alors peuvent apparaitre des manifestations de symptômes cardiaques, vasculaires ou encore rénales - comme un accident vasculaire cérébral (AVC) ou encore une embolie pulmonaire.
Ces complications découlent de l'orage cytokinique, c'est-à-dire de l’emballement du système immunitaire qui peut suivre l'infection virale à SARS-CoV-2.
C'est un phénomène que l'on n'observe pas en cas de grippe.
Pas de survie pour le SARS-CoV-2 sans réplications
Le virus n’est pas une cellule à part entière, à l’inverse de la bactérie.
On entend par là qu’il n’a pas de noyau et qu’il ne contient jamais en même temps de l’ADN et de l’ARN.
En conséquence de quoi, le virus est un parasite intra ou extracellulaire
qui a obligatoirement besoin d’une cellule hôte et de ses constituants pour se multiplier et exprimer son patrimoine génétique.
Cette cellule hôte peut-être une cellule végétale, animale ou encore une bactérie.
Les virus ne peuvent survivre qu’en se multipliant au sein de cellules

Les virus ne peuvent survivre qu’en se multipliant au sein de cellules
vivantes par réplication de leur acide nucléique, l’ARN ou ADN.
Pour pouvoir se multiplier et se reproduire, il leur est nécessaire de prendre pos​session d’une cellule et de la parasiter.
Ils se comportent comme des parasites stricts.
Une fois parasitée, les cellules reproduisent la structure du virus.
L’interaction du nouveau génome viral et de la cellule hôte aboutit à la production de nouvelles particules virales.
L'envahis​sement d’une cellule par un virus et leur multiplication se déroule en plusieurs étapes.
Toutefois, les étapes dif​fèrent selon la nature du virus, et selon qu’il s’agit d’un virus à ADN ou à ARN.
Rappelons que les virus de la grippe sont des virus à ARN.
La grande force des virus est due à leur capacité à se multiplier rapidement donc à muter. Ils sont 1000 mois plus rapide dans leur mutation que les bactéries.
Les modifications peuvent être
des mutations, ce qu’on pourrait appeler des « fautes de frappe », produites au cours de la réplication virale (comme le remplacement d’une base azotée par une autre).
Ce peut être aussi l’échange de matériel génétique de virus à
virus : c’est ainsi que le virus de la grippe humaine a emprunté des gènes à des virus de grippe porcine.
D’où viennent ces « nouveaux virus » ?
À l’origine d’une épidémie causée par l’un de ces virus, on trouve souvent la rupture d’un équilibre écologique, provoquée par l’homme (barrage élevage intensif déforestation guerre )
, ,​,....

(barrage élevage intensif déforestation guerre )
, ,​,....
Dans leur grande majorité, ces maladies sont dues à des agents pathogènes présents depuis très longtemps dans l’environnement.
Si de tels virus arrivent aujourd’hui à sortir de l’ombre, la faute en incombe souvent — mais pas de façon sys​tématique — à l’homme lui- même.
Par son action, il perturbe l’environnement du virus et facilite son trans​- fert de l’animal à l’homme ou son introduction dans une population jusque-là épargnée, puis sa dissémina​tion au sein de cette population.
Agir sur la grippe saisonnière (puisqu’elle revient chaque année)
Cette maladie infectieuse aigüe très contagieuse, est due à un virus de la famille des Myxovirus influenzae dont les carac​téristiques sont très variables d'une année à l’autre.
La transmission s’effectue de personne à personne essentiel​lement par voie aérienne (toux, éternuement, postillon).
Le délai entre la contamination et la déclaration de la maladie est d’1 à 4 jours, c’est ce qu’on appelle la période d’incubation.
L’intensité de la maladie repose sur la quantité de parti​cules virales (la charge virale) et de l’importance de l'inflam​mation.
La durée d’excrétion virale n’est que de quelques jours. Les risques de contracter la grippe relèvent de plu​sieurs facteurs
la proximité du sujet contaminateur, le statut immunitaire du sujet exposé, le statut vaccinal.
La convalescence s’étend sur 1 à 3 semaines. La toux peut se prolonger durant quelques semaines.

La grippe s’installe rapidement après une courte pério​de d’incubation.
Le début est explosif avec une fièvre élevée à 39-40°C accompagnée d’une fatigue intense, de courbatures, de douleurs musculaires ou articulaires, voire de manifestations du carrefour ORL (catarrhe des voies aériennes).
C’est une affection qui confère une immunité solide mais temporaire et seulement vis-à-vis du virus qui l’a provoquée.
La grippe se manifeste cliniquement par :
Un syndrome infectieux avec catarrhe des muqueu​ses (respiratoires ou digestives) et toux ;
Un syndrome nerveux avec céphalées (qui prédo​minent dans les formes encéphaliques) ;
Courbatures généralisées, douleurs musculaires et articulaires ; Parfois un syndrome hémorragique dans les formes graves (épistaxis, règles avancées, purpuras) ;
Altération de l’état général : fatigue, parfois longue convalescence.
Ces modes réactionnels caractéristiques de la maladie sont le fait de virus filtrants dont la nature varie d’une année à l’autre, ou même d’une épidémie saisonnière à une autre.
Il arrive que les vaccins antigrippaux ne présentent aucune efficacité à cause de ce mode de fonctionnement.
La grippe étant une affection virale, les antibiotiques sont inopérants et inutiles, et pourtant trop souvent prescrits.
Ils doivent être réservés aux infections bactériennes, si t’en est qu’elles ne soient pas devenues résistantes.
Les personnes à risques : elles sont nombreuses
La grande majorité des cas mortels consécutifs à la grippe sont des
personnes fragilisées. La liste des pa​thologies est aussi longue qu’une

personnes fragilisées. La liste des pa​thologies est aussi longue qu’une litanie.
Tous présentent une immunité basse et un stress oxyda​tif qui perturbent l’ensemble des métabolismes (vitami​nes, sels minéraux, oligo-éléments, coroténoïds, coen​zyme Q10, les protéines, le glutathion, les porphyrines,
les acides gras de la membrane, les polyamines).
Il faut vérifier l'état inflammatoire et allergique qui sol​licite la lignée blanche (lymphocytes, polynucléaires, neutrophiles, interférons et macrophages) et exalte le processus infectieux.
Examens conseillés : Vitesse de sédimentation et C réactive protéine (terrain inflammatoire).*
Contre les virus : 2 temps forts
1/- Soutenir les défenses naturelles
La prévention doit commencer le plus tôt possible dès que l’épidémie sera présente dans votre entourage ; l’organisme pourra alors se défendre face à l’invasion virale.
Notre santé dépend en grande partie du fonctionne​ment optimal de nos systèmes naturels de défense contre les agressions de tous types.
Lorsqu'ils sont performants, ils nous prémunissent. A partir de novembre prendre en homéopathie :
INFLUENZINUM 15CH + SERUM DE YERSIN 15CH (1 dose ou 10 granules une fois par semaine le premier mois, puis le premier de chaque mois 10 granules de chaque.)
Savoir qu’INFLUENZINIUM est une dilution du vaccin antigrippal dont l’efficacité est très relative.
Booster les défenses naturelles :
STIMU+, 2 fois 2 gélules (3 champignons, 4 HE à phénol,

STIMU+ 2 fois 2 gélules (3 champignons 4 HE à phénol
,,,
échinacée).
Ceux qui en prennent depuis plusieurs années se mettent à l’abri de pathologies infectieuses et dégénératives. Labo Phyt’Inov.
IMMUTIONE (extrait d’échinacée, de griffe du chat, de propolis), 1 cp matin et soir, cure de 3 mois (26€ les 45 cp), labo Le Stum : 02 97 88 15 88.
Spray nasal et diffusion atmosphérique : LYSO HOME, labo Phyt’Inov.
SPRAY POLIS, 2 pulvérisations par jour, labo Fénioux.
Pré et probiotiques (ORTHOFLORE ou LACTOSPECTRUM).
2/- Evacuer le mal quand (et si) il est là
Prendre LYSOVIR (4 HE à phénol), 2 gélules, 3 fois par jour durant 1 semaine puis 2 fois 2 gélules, 2 à 3 semaines.
Et adapter le traitement grâce à l’homéopathie. A/ Selon les douleurs et courbatures
douleurs articulaires et musculaires, et impossibilité de trouver une bonne position : RHUS TOXICODENDRON 7CH
courbatures, jambes en coton et pas soif : GELSEMIUM 9CH courbatures, douleurs oculaires, soif : EUPATORIUM PERFOLIATUM 5CH
>> 3 granules du ou des remèdes indiqués toutes les heures. Espacer dès amélioration.
B/ Selon les caractéristiques de la fièvre
Très élevée, brutale et sans soif : APIS MELLIFICA 5CH
Très élevée, brutale, sans soif, avec les jambes en coton et tremblements : GELSEMIUM 9CH
Élevée, avec sensation de froid intense, soif de petite quantité d’eau : ARSENICUM ALBUM 7CH
Suite de refroidissement, avec rougeur et chaleur de la peau sueurs et soif importante : BELLADONNA 9CH

Suite de froid sec, avec agitation et anxiété, sans sueurs : ACONIT 15CH
Peu élevée, variable, avec grande fatigue : FERRUM PHOSPHORICUM 5CH
>> 3 granules du ou des remèdes indiqués toutes les heures. Espacer dès amélioration.
Ajouter des oligo-éléments : cuivre-or-argent 3 à 5 fois par jour.
C/ Selon la toux
BRYONIA 7 CH : douleur aigüe dans la trachée et les bronches, toux douloureuse, muqueuses sèches, soif intense.
FERRUM PHOSPHORICUM 9 CH : fièvre modérée, inflam​mation des bronches et des tympans, toux sèche et douloureuse.
>> 5 granules 4 fois par jour du remède adapté.
D/ Selon le type de bronchite
Dans tous les cas : QUEBRACHO 3X, 3 granules 5 fois par jour. Avec gros râles entendus de l’extérieur : ANTIMONIUM TARTARICUM 5CH
Avec nausée et même quelquefois vomissements de glaires : IPECA 5CH
Mucosités jaunes et faciles à expectorer : KALIUM SULFURICUM 5CH + PULSATILLA 15CH
Verdâtres et difficiles à expectorer : KALIUM BICHROMICUM 5 CH
>> 3 granules du ou des remèdes indiqués 5 fois par jour. Espacer dès l’amélioration.
E/ Selon la convalescence
Prendre pendant toute sa durée :
SULFUR IODATUM 5 CH - 5 granules le matin pendant 8 jours. CHINA ET KALIUM PHOSPHORICUM 5 CH - 5 granules de chaque avant les 2 repas.
INFLUENZINUM 15 CH - 1 dose unique.

Ajouter Vitamine C + Quercétine + Vitamine D3
Famille des Myrtaceae : 2 huiles indispensables
Dans notre pathologie virale à impact respiratoire (grippe, coronavirus) nous disposons de 2 huiles essentielles incontournables, dont les plantes appartiennent à la grande famille des Myrtaceae. Il s’agit de :
L’HE d’Eucalyptus radiata pour la sphère ORL.
L’HE d’Eucalyptus globulus pour les bronches et poumons.
A cet arsenal de base on peut ajouter l’HE de Laurier noble et de Ravintsara.
On peut les appliquer en gélules, en massage, en spray ou en diffusion atmosphérique.
La recette antigrippe catarrhale
HE CT Romarin CT cinéole 2 ml HE CT Eucalyptus globulus 2 ml HE CT Épinette noire 1 ml
HE CT Ravintsara 2 ml
HV Calophylle inophylle 3 ml
>> 15 gouttes sur le thorax ou le haut du dos 6 fois par jour et 5 gouttes en bouche dans un peu de miel ou sucre de canne ou huile végétale pendant 1 semaine.
Pour aller plus loin :
« Tout savoir sur les virus et y faire face ». Ed. Dauphin. 14€. « Les huiles essentielles antivirales ». Ed. Trédaniel.
Si vous appliquez ce protocole vous passez un hiver et un printemps à l’abri de toute attaque virale.

N oubliez pas de le communiquer à vos proches car si tout le monde se


N oubliez pas de le communiquer à vos proches car si tout le monde se protège, votre entourage sera moins infecté par les virus de l’hiver...
Et par voie de conséquence, vous aurez moins de chance d’être en contact avec ces virus et d’être infecté !
Portez-vous bien.
Jean-Pierre Willem
Sources :
[1] «Olfactory and Gustatory Dysfunctions asaClinical Presentation of Mild to Moderate Formsofthe Coronavirus Disease»,
European Archives of Oto-Rhino-Laryngology, 2020. L’enquête se poursuit. N'hésitez pas à participer si vous avez
perdu l'odorat à cause du Covid-19 : surveymonkey.com/r/VMQYKGV.
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clear
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Re: Hold Up

Message par clear »

manon a écrit : 10 janv. 2021, 14:05 Bonjour à tous
Petit rappel
Pour se prémunir de la Covid19 ou de ses effets
Supplémentation en zinc ( granions zinc ampoules)
Vitamine D
Vitamine C
Infusions de thym
Au minimum
Quelles que soient les raisons pour lesquelles cette saloperie circule
Pour corroborer les dires de Manon sur la nécessité de prendre du zinc entre autres, voici un message reçu que je vous poste :

Covid : le zinc était bien nécessaire
Chère lectrice, cher lecteur,
Pendant des mois, les grands experts qui passaient à la télévision ont ridiculisé les “charlatans” de la santé naturelle, comme moi et tant d’autres, qui appelaient à prendre du zinc.
Sur Internet, il est même devenu interdit de faire la promotion du zinc contre le Covid : Facebook, Google ou Youtube coupent les comptes des personnes qui donnent ce conseil “non agréé” par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) et les autorités sanitaires.

Il faut lutter contre les “Fake news”, vous comprenez ?

Cela faisait des années que le rôle du zinc contre les virus était connu
Pourtant, cela faisait des années qu’on savait que le zinc ralentit la réplication et la reproduction de nombreux virus dans le sang.

Bien entendu, la relation entre le zinc et le Sars-CoV-2 (le virus responsable du Covid-19) n’était pas connue. Pour cause, on venait à peine de découvrir le virus, il ne pouvait bien entendu pas y avoir d’études publiées à son sujet !

Il était pourtant plus que raisonnable de conseiller à la population de prendre d’urgence une supplémentation en zinc. Cela ne coûte quasiment rien, il n’y aucun effet secondaire néfaste si l’on reste sous 15 mg par jour. Au contraire, il n’y a que des bienfaits complémentaires à en attendre, car de nombreuses personnes manquent de zinc.

Le zinc a de nombreuses vertus complémentaires !
Le zinc augmente la production de lymphocytes T et permet leur activation, ce qui permet de lutter contre les maladies infectieuses. Il permet de fabriquer des prostaglandines anti-inflammatoires à partir des acides gras oméga-3 et 6.

Le zinc permet aussi de préserver l’odorat et le goût, ce qui est particulièrement intéressant dans le cas du Covid (pour cette raison, on donne du zinc aux personnes en chimio ou radiothérapie, qui souvent perdent le goût et l’odorat).

Enfin, et c’est toujours très appréciable, le zinc donne une belle peau et de beaux cheveux. Il est efficace pour lutter contre l’acné, le psoriasis et l’eczéma. Il rend les cheveux plus robustes et leur donne de l’éclat.

Mais peu importe. Dans un mouvement unanime, les Autorités sanitaires sont restées dangereusement silencieuses sur ce sujet, et les rares experts ayant publiquement appelé la population à prendre du zinc ont été traités par des ricanements et du mépris, quand ils n’ont pas été tout simplement déprogrammés des émissions de télévision.

Des médecins espagnols étudient le zinc chez les patients Covid et… devinez quoi !
Des médecins de Barcelone (Espagne, Hospital Del Mar) ont toutefois réalisé une analyse rétrospective sur 611 patients Covid hospitalisés entre mars et avril 2020.[1]

Parmi eux, ceux qui sont morts avaient en moyenne 43 microgrammes de zinc par décilitre de sang (43 mcg/dl), tandis que ceux qui ont survécu, la moyenne était de 63 mcg/dl, soit près de 50 % de plus.

Plus les patients avaient de zinc, moins leur niveau d’inflammation (mesuré par le taux d’interleukines 6) était élevé, indiquant une gravité moindre de la maladie.

L’étude a constaté un risque 2,3 fois plus élevé de mourir chez les personnes ayant moins de 50 mcg de zinc par dl de sang :

“Un taux de zinc faible lors de l’admission à l’hôpital est corrélé avec une inflammation plus forte durant la maladie, et un pronostic moins favorable. Le taux plasmatique de zinc à l’admission est associé au taux de mortalité due au Covid-19 dans notre étude.”

Cette étude a été présentée lors de la Conférence ESCMID sur la maladie à coronavirus (ESCMID Conference on Coronavirus Disease).

Comme pour la complémentation en vitamine D, les Autorités de Santé et les grands médias restent pour l’instant silencieux, tout l’espace étant apparemment occupé par les vaccins.

Vitamine D et zinc sont pourtant plus faciles à trouver, moins chers, moins compliqués. Ce sont des substances naturelles bien connues de tous les thérapeutes qui se respectent. Ils ont, de plus, de nombreux effets bénéfiques sur la santé, en plus de leur effet favorable contre le Covid-19.

Qu’est-ce qui bloque, alors ? Mystère.

source [1] https://www.eurekalert.org/pub_releases ... 092220.php


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Citation : à coeur vaillant rien d'impossible

Re: Hold Up

Message par clear »

Voici le post dont je vous ai parlé sur le vaccin et les maladies auto-immunes, le gel etc ..... Lisez-le jusqu'à la fin

Chère lectrice, cher lecteur,
Ce n’est pas la fin du monde, mais on aurait pu s’en approcher !
Souvenons-nous de la grippe espagnole qui a fait 70 millions de morts en 1918-19 en 3 vagues.

2020 restera l'année Covid : cela a commencé le 9 janvier par la découverte officielle du virus. Il est invisible à l’œil nu.

Il mesure 0,1 micron (un che­veu très fin fait 15 microns !). Il a chamboulé la terre entière.

Le virus de la Covid-19, avec ses spicules en forme de flè­ches, observés seulement au microscope électronique, a contaminé 77 millions de personnes et en a tué plus d’un million et demi.

Ce virus à ARN+ a très vite colonisé le monde entier, en profitant des voyages en avion pour s’implanter aux quatre coins de la planète.

Ce nouveau coronavirus, dit SARS-CoV-2, a émergé à Wuhan, dans la province de Hubei.

Il est probable qu'il ait comme origine un virus présent chez la chauve-sou­ris qui soit passé ensuite par un animal intermédiaire avant de nous atteindre.

L'animal intermédiaire ne serait pas le pangolin et, pour l'ins­tant, on le cherche toujours.

Très vite, le 12 janvier, les chercheurs chinois rendent publiques les séquences gé­nétiques du virus, point de dé­part aux tests de dépistage.

Les autorités du pays minimi­sent au début la gravité de la maladie, laissant les médecins occidentaux perplexes.

S’agit-il d’une « grippette » comme certains s’évertuent à le répé­ter ?

Ou d’une pneumonie po­tentiellement dangereuse ?

« En février, nous n’avons pas compris pourquoi il y avait tant de décès en Italie, raconte le professeur Lina. Il a fallu un peu de temps pour que l'on se rende à l'évidence que ce vi­rus pouvait être mortel en plus d'être très contagieux. »

Par ailleurs ce virus a explosé plus particulièrement à Bergame dans le Nord de l’Italie, là où on avait vacciné la population contre le virus pneumocoque, deux mois avant son extension virale en Italie.

Depuis, nous avons vécu des événements que personne n'aurait imaginés : une épidémie mondiale, les confinements de pays entiers, les couvre-feux, la vie masquée, des centres- villes quasiment vides, le télétravail généralisé, les téléconsultations médicales, la fermeture des bars, des restaurants, des lieux de culte et de culture ou des aéroports.

Sur le plan économique, le gouvernement français a aussi accepté l’impensable : laisser filer les déficits pour éviter l’effondrement.

Durant une année, au travers des newsletters, j’ai essayé de vous faire partager cette incroyable saga qui nous interpelle et nous inquiète dès lors qu’elle touche à nos vies et parfois à la mort.

Cette pandémie planétaire nous a sidérés car elle frappe tout le monde sans distinction aucune.

Elle tue aussi : déjà 1,7 million de personnes.

2021 rimera-t-elle avec vaccin ?
Si les connaissances ont progressé, il en reste encore beaucoup à découvrir : comment ce virus va évoluer ?

A quel niveau la population sera-t-elle immunisée ? Pourra-t-on enfin trouver des traitements salvateurs ?

Au cours des six premiers mois de l’épidémie, les mé­decins ont découvert que cette nouvelle maladie virale provoquait des symptômes à tropisme respiratoire puis des troubles cardia­ques, digestifs, neurologi­ques, cutanés, de la fertilité (atteinte des spermatozoïdes)...

Pour comprendre cette atteinte de tous les organes, il faut se pencher sur la membrane des cellules, où se niche le récep­teur, ACE2.

Des chercheurs ont démontré que l’ACE2 joue le rôle de « ser­rure » permettant au coronavirus d'entrer dans la cellule grâce à sa « clé », la protéine spike, et de l’infecter.

2021 s’annonce comme « l’année vaccin » avec la mobilisation stupéfiante des scientifiques et des gros laboratoires.

On compte aujourd’hui plus de cinquante candidats vaccins dont une petite douzaine obtiendront une autorisation de mise sur le marché

L’époustouflante rapidité avec laquelle un vaccin contre la Covid-19 a été mis au point restera dans les annales de l’histoire scientifique.

Autant sans doute que la découverte du principe du vaccin par Louis Pasteur en 1885.

Pour soigner un enfant de 9 ans contre la rage, ce dernier lui avait injecté une souche du virus atténué, en toute petite quantité.

Cette découverte a ouvert la voie à de multiples vaccins.


La nouvelle ère vaccinale : plus d’alu, mais quels effets indésirables ?
Avec la Covid-19, la recherche entre dans une ère nouvelle grâce à la technique de « l’ARN messager » : on injecte aux patients des formes d’instructions génétiques qui vont stimuler les cellules immunitaires pour qu’elles fabriquent des anticorps protecteurs.

C’est le premier vaccin efficace à 90%.
La performance est bien d’avoir obtenu de tels résultats un an seulement après l’apparition de la maladie.
Pour vaincre la peste, il a fallu attendre six cents ans.
Pour le sida, un traitement est apparu au bout de trente ans. Et toujours pas de vaccin.

Ce qui a changé, c’est l’utilisation des nouvelles technologies, à commencer par la puissance inimaginable des calculateurs.

Pour découvrir l’agent infectieux du sida, il a fallu six ans. Pour la Covid, six jours.

L’association de la biologie et de l’informatique la plus avancée a permis de faire des miracles.

L’arrivée de plusieurs vaccins contre la Covid-19 est d’abord une chance.

A terme, ils devraient permettre à l’humanité de maîtriser, voire de stopper l’épidémie de coronavirus.

Un énorme regain de confiance en résultera, l’économie repartira, peut-être dès le second semestre de l’année 2021.

Mais, d’ici là, le pilotage de l’opération s’annonce délicat.

Bien davantage qu’un casse-tête, c’est une accumulation de risques qu’il faudra affronter.

La concurrence de Pfizer - BioNTech et de Moderna a mis la barre très haut.

C’est très difficile d’arriver après ces deux laboratoires, qui ont écrasé le match en affichant des résultats à 95 % d’efficaci­té.

Après cela, tout paraît bien faible.

La révolution technologi­que de l’ARN messager a donné un coup de vieux aux techniques classi­ques.

Les sociétés de biotech­nologie bouleversent le mar­ché, jusqu’à présent dominé par quelques grands acteurs, tandis qu’avec ce nouveau type de vaccins à ARN messager, on peut réagir beaucoup plus vi­te.

Si un virus mute fortement on ne repartirait pas de zéro.

Cette nouvelle technologie est vraiment révolutionnaire.

Dans les prochaines années, elle pourrait s'imposer en matière de fabrication de nombreux vaccins.

Mais elle fait peur.

Un vaccin qui envoie un message d’essence génétique à une cellule pour que celle-ci produise des anticorps, c’est totalement nouveau.

Ce vaccin ne modifierait rien en notre ADN.

Il n’affecterait en rien le programme génétique dont notre corps est doté.

Toutefois, tout n’est pas rose !

Le coût bénéfice/risque n'est pas évident à calculer, surtout pour un vaccin qui repose sur une nouvelle technologie à ARN.

Les médias parlent d’un taux d’efficacité de 90% pour le vaccin de Pfizer et jusqu'à 94,5% pour celui de Moderna.

Mais quid des effets secondaires possibles ?

Il y a un manque de transparence sur les effets, qui se seraient déclarés chez certains participants, puisque le tri des effets significatifs ou pas s'ef­fectue selon des critères confi­dentiels.

Pour être cohérent avec une politique de prévention en matière de santé publique, rappelons l'adage en médecine « primum non nocere » (d'abord ne pas nuire).

L'État et les professionnels de santé devraient à minima inciter les gens à exercer leur discernement (à défaut de proposer un formulaire de consentement éclairé comme cela se fait pour toute procédure médicale) avant de décider de se faire vacciner.

Personnes à pathologies auto-immunes : méfiance !
En effet, un article publié le 12 janvier 2018 dans la revue Nature Reviews Drug Discovery a révélé que les vaccins à ARN pouvaient provoquer une réaction auto-immune (entre autres) chez des individus sensibles(1).

Pour déterminer ces suscepti­bilités, plusieurs tests de dépis­tage précoce sont disponibles, comme la recherche de pro­téine C-réactive (CRP) par un test sanguin.
Ou encore l'ANA (anticorps antinucléaire), autre test sanguin très courant, pour détecter les maladies auto-im­munes.

Ces tests permettraient de mettre en œuvre une poli­tique de vaccination person­nalisée tenant compte des dif­férences génétiques entre indi­vidus.
Avant d'exposer l'ensemble de la population à une technolo­gie innovante, il serait prudent de pratiquer ce type de dépis­tage précoce afin d'identifier les personnes ayant déjà une maladie auto-immune avérée ou des signes de prédisposi­tion à de telles maladies (fortes allergies, polyarthrite rhuma­toïde, lupus, sclérose en plaques, diabète de type 1, syndrome de Guillain-Barré, maladie d’Hashimoto).

En revanche, ce vaccin ne contiendrait aucun adjuvant.

Basta l’aluminium !, ce métal neurotoxique et les 6 autres additifs aussi dévastateurs mais incontournables pour booster l’immunité.

Aura-t-on un vaccin « local » ?
Les données intermédiaires n’incitent pas à l'optimisme concernant le vaccin du géant français Sanofi.

Si les résultats sont « encourageants » chez les jeunes adultes, la réponse immunitaire « est faible chez les adultes plus âgés, poten­tiellement attribuable à une concentration insuffisante d’antigènes », explique un porte-parole de l’entreprise.

Or, c’est précisément la popu­lation la plus exposée aux ef­fets graves du coronavirus !

Résultat, le groupe français, associé au géant britannique GSK, spécialiste de la vaccina­tion, est obligé de complète­ment revoir son calendrier.

Sacré revers pour Sanofi qui a misé sur la « protéine recombinante » mais reste « confiant ».

Selon eux, cette technique, utilisée pour les vaccins contre l’hépatite B et le papillomavirus, aurait donné de bons résultats contre la grippe.

Par ailleurs, le vaccin Sanofi recèle un adjuvant, ce qui pourrait être dissuasif !

Le SARS-CoV-2 a plus d'un tour dans son sac
Le monde va-t-il enfin se remettre à tourner en rond grâ­ce à la vaccination ?

Va-t-elle nous permettre de sortir de cet enfermement, de ces confinements, de ces limita­tions d’échanges familiaux, de dîners, de fêtes... ? Peut- être.

Mais, comme tous les virus, SARS-CoV-2 a plus d’un tour dans son sac.

Certes, le vaccin, porteur d’un réel espoir, est bien au rendez-vous.

Mais protéger l’ensemble de la population prendra des mois.

Pour cette raison, le retour à la vie normale ne semble pas envisageable avant de longs mois.

Et, pendant ce temps-là, le virus ne désarme pas.Pis, il menace d’accélérer sa propagation.

La nouvelle souche décelée au Royaume-Uni s’est déjà répandue partout dans le monde avant que les frontières ne soient fermées.

On commence à recenser des cas en Afrique du sud, en Suède, au Japon et même en France.

Il est acté que ce variant est plus contagieux, à défaut d’être plus dangereux. Pour l'instant, en tout cas.

Impossible, en outre, d’exclure la possibilité d’une nouvelle mutation du SARS-CoV-2, aux répercussions cette fois dramatiques.

Un troisième confinement menace, donc. Il enchaînerait sur le couvre-feu.

Des phénols plutôt que des perturbateurs endocriniens
Le masque, les gestes barrières et le vaccin restent incontournables malgré les effets secondaires qui surviennent dès les premiers jours.
Notons que l'officiel gel hydroalcoo­lique (qui pénètre la peau), a été suspecté par plus de 200 chercheurs de 29 pays, de favo­riser les cancers du sein.

Deux composants antiseptiques, le Triclosan et le Triclocarban, sans avoir démontrer leur fia­bilité dans l'élimination bac­térienne, sont suspectés d'être de graves perturbateurs endo­criniens et d'accroitre les aller­gènes.

Ainsi ils préconisent de se laver les mains au savon de Marseille qui respecte le microbiote cutané, tout simplement.
Tout vaccin est hautement iatrogène surtout s’il recèle un adjuvant que l’on retrouve dans les vaccins Sanofi (Pasteur).

En revanche le vaccin ARN messager n’en contient pas. Le choix est fait.
Si 40% des Français refusent le vaccin, on ne pourra pas atteindre l’immunité collective qui devrait se situer autour de 70% de vaccinés.

Signalons qu’il est stipulé, en l’absence de thérapie, que tout traitement non officiel pouvait être appliqué.

Or nous disposons d’une thérapie efficace à savoir l’aromathérapie, qui a été appliquée même dans certains hôpitaux universitaires.

Certaines huiles essentielles (à phénol) possèdent l’étonnante capacité de se fixer à la membrane externe des virus et ainsi détruire l’enveloppe protégeant le virus.

Les particules virales mises à nu par cette activité, deviennent détectables par nos systèmes de défenses et sont immédiatement détruites.
Des milliers de Français y ont eu recours.

Il suffit d’interroger les pharmaciens qui étaient souvent en rupture de stock.

Les familles qui déplorent la disparition d’un des leurs pourraient se retourner contre notre système médical, aliéné à Big Pharma qui s’oppose à toute thérapie qui ne leur apporte aucun dollar.

Penser comme un pompier !
En théorie c’est assez simple.

Il suffit de concevoir les épidémies comme des incendies de forêt.

L’un et l’au­tre sont des phénomènes naturels, mais lorsque vous jouez avec les lois de la nature, ils peuvent devenir hors de contrôle.

Les incendies sont, par exemple, favorisés par une accu­mulation de conditions favorables (comme du bois mort qui s’entasse).

Après une flambée rapide, ils disparaissent généralement : soit parce qu’ils arrivent dans des zones où les arbres sont trop éloignés pour que les flammes passent de l’un à l’autre (l’équivalent de la distanciation sociale), soit parce qu’ils arrivent dans des zones où les espèces d’arbres sont moins inflammables (ils sont immu­nisés contre le feu).

Dans le cas des épidémies naturelles, la situation est relativement similaire.

Elles émergent puis se propagent jusqu’à ce que la contagion soit freinée dès lors que la plupart des infectés ne peuvent contaminer d’autres personnes.

Cela peut être dû au fait qu’ils n’en rencon­trent plus (à cause de la mise en place de mesures de distanciation sociale, de quarantaine...), ou parce que ceux qu’ils rencontrent sont immunisés (immunité acquise lors d’une infection passée, ou grâce à la vaccina­tion).

Si le rythme des infections diminue, alors l’épidé­mie s’atténue, jusqu’à disparaître.

Rassurez-vous cependant : un virus qui devient telle­ment dangereux qu’il détruit totalement sa population hôte, n’existe pas.

Tout simplement parce que ce virus anéantirait en même temps ses ressources, son écosystème et son environnement.

Il disparaîtrait donc du même coup.

Et même si le virus n’est pas intelligent, il n’est pas assez bête pour détruire son propre environnement.

Comment va réagir Big pharma et notre système médical mafieux ?

Une révolte populaire se met en place.

Amis lecteurs, je vous souhaite une année 2021, plus harmonieuse et pleine d’espérance.

Portez-vous bien,

Jean-Pierre Willem


1. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/ articles/PMC5906799/


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Message par sab14 »

clear a écrit : 08 janv. 2021, 19:29
sab14 a écrit : 08 janv. 2021, 16:59 oui Patrick tu as raison,
pour ce qui est du vaccin je suis pas décidée et toute façon avec une maladie auto immune rien n'est encore établi, je vois l'hépatologue en mars je lui poserai la question, mais mon généraliste m'a dit, lors de ma dernière vaccination pneumovax, qu'il fallait etre très prudent car pas assez de recul pour les personnes ayant des pathologies comme les locataires de l'appart ;)
Tu supportes bien le vaccin pneumovax ? pas trop d'effets secondaires ? Car quand on lit la notice, il y en a un paquet !!!!
C'est à cause de ça que j'ai toujours refusé de le faire (même quand il n'y en a qu'un, je suis sûre qu'il est pour moi !)
Tu sais lequel tu fais , car je crois qu'il y en a plusieurs ?
J'ai fait prevenar 13 en septembre, grosse fatigue et super mal à l'injection et ensuite au bras pendant plusieurs jours
j'ai du attendre avant de faire pneumovax car j'ai fait une bronchite assez sévère avec asthme, est ce prévenar ? je ne sais pas
donc pneumovax 23 le 4 janvier, moins mal à l'injection pas de fatigue,

vu que les antibios doivent etre à haute dose pour moi (sous immunosuppresseurs) j'ai souffert des effets secondaires d'antibio pris pendant 12 jours, ça fait deux mois que j'ai eu cette bronchite et je tousse toujours, à cause des antibio j'ai candidose, acidose, donc naturopathie mais c'est long

c'est ainsi que j'ai choisi de me faire vacciner avec pneumovax

je précise prévenar 13 (vaccin avec alu)
pneumovax 23 (vaccin sans alu)
:)


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Re: Hold Up

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Merci Sab. Pour arrêter les quintes de toux qui traînent après bronchite, je prends le soir au coucher du sirop végétosérum. Maintenant il est sur prescription. En plus il me fait dormir (tout bon pour moi)


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manon
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Re: Hold Up

Message par clear »

Vaccination : quels sont les enjeux ?
Chère amie, cher ami,

J’aimerais aujourd’hui partager avec vous l’essentiel d’une vidéo-conférence[1] faite par le docteur Christian Vélot, généticien moléculaire à l’Université Paris-Saclay et président du Conseil Scientifique du Criigen[2]. Ce chercheur militant, ou militant chercheur (pour reprendre les propos du journal Le Monde[3]) a effectué un gros travail de recherche, bien documenté, sur les vaccins, à propos duquel je vous donnerai mes conclusions.

Cette lettre, je préfère vous le dire d’emblée, est un peu technique. Mais elle me semble essentielle pour que vous puissiez saisir les enjeux de la vaccination contre le Covid-19, en particulier les questions soulevées par ces nouveaux vaccins « à ARN ou ADN », et ainsi tenter de vous donner les clés pour faire vos propres choix.

Je précise que mes propos, tout comme ceux du docteur Christian Vélot que je retranscris, n’ont aucune vocation à alimenter un débat anti-vaccin, mais seulement à informer à propos des mécanismes et des potentiels risques de certains vaccins.

Pourquoi faut-il absolument être prudent et exigeant à propos d’un vaccin ? Par ce que contrairement à un médicament qui s’adresse à une personne malade, le vaccin s’adresse en prévention à une personne saine. Il n’est donc pas supposé apporter d’effets secondaires ou engendrer des risques, à moins qu’il ne soit destiné à une maladie potentiellement très grave, comme c’est le cas, par exemple, pour la fièvre Ebola.

Voilà pourquoi l’exigence vis-à-vis de la sécurité d’un vaccin doit être bien supérieure à celle de tout médicament.

Avant d’aborder le problème des différents vaccins proposés contre le Covid-19, il serait bon d’essayer de comprendre ce qu’est un virus.

Qu’est-ce qu’un virus ?
C’est une couche de protéines qui enveloppe le matériel génétique du virus, formant une coque. On l’appelle une « capside ». Cette capside, dans le cas des coronavirus, peut être entourée d’une double couche de graisse, dans laquelle sont enchâssés plusieurs exemplaires d’une protéine que l’on appelle « protéine de surface », et qui donnent visuellement un effet de couronne, d’où le nom « coronavirus ». Dans le cas de du SARS-CoV-2 (le virus du Covid-19), cette protéine s’appelle « Spike ». C’est elle qui permet au virus de pénétrer dans nos cellules et de les infecter.

Certains virus ont un matériel génétique fait d’ADN, ils peuvent donc transmettre directement l’information génétique à notre ADN cellulaire et détourner la machinerie cellulaire à leur profit.

D’autres virus ont un matériel génétique à ARN[4]. C’est le cas des coronavirus, en particulier du SARS-CoV-2. Le virus pourra alors transmettre directement son information sans passer par l’ADN intra-cellulaire.

Qu’est-ce qu’un vaccin ?
Un vaccin consiste à entraîner notre organisme, à stimuler notre système immunitaire et à le préparer à faire face au virus le jour où il infectera notre organisme. Il aura alors suffisamment d’anticorps pour lutter contre l’infection.

Quel sont les différents types de vaccins (indépendamment de ceux proposés contre le Covid-19) ?
Un certain nombre de vaccins consistent à injecter, par exemple, un virus entier dans l’organisme. Ce sont des virus soit inactivés (on parle alors de vaccin inactivé), soit atténués (on parle alors de vaccin atténué).

Le virus est inactivé par un traitement chimique comme le formaldéhyde, ou par des irradiations aux UV. Il est inactif, mais immunisant. Pour augmenter sa fonction d’immunisation, il doit être potentialisé par l’ajout d’adjuvants, tels que des sels d’aluminium, qui sont suspectés de toxicité[5].

Ce type de vaccin nécessite souvent plusieurs injections à différents intervalles (rappels). Les vaccins contre la poliomyélite, la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’Haemophilus influenza de type b, l’hépatite A, l’hépatite B, le pneumocoque, la grippe, l’encéphalite à tiques d’Europe centrale, l’encéphalite japonaise et la méningite à méningocoques (A, C, W, Y) sont des vaccins inactivés.

Dans le cadre d’un virus atténué, le virus n’est pas mort, mais il a été traité pour rendre son développement impossible dans l’organisme à 37° (la température normale du corps). Ce type de vaccin a l’avantage d’être plus immunogène que les vaccins inactivés, mais présente plus de risque infectieux, ce qui les contre-indique chez les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées. Les vaccins contre la rougeole, les oreillons, la rubéole, la fièvre jaune et le vaccin oral contre la fièvre typhoïde sont des vaccins atténués.

Il existe aussi des vaccins à protéine recombinante, c’est-à-dire avec une protéine qui n’existe pas dans la nature. Elle est fabriquée artificiellement en laboratoire. C’est cette protéine qui va déclencher la fabrication d’anticorps. Les vaccins contre l’hépatite B et le papillomavirus sont des vaccins à protéine recombinante.

Et les vaccins contre le Covid-19 ?
Dans le cadre du Covid-19, deux vaccins sont disponibles en France, à la date où j’écris ce texte. Ce sont des vaccins à ARN messager (je vais y revenir). Mais il y a actuellement pléthore de candidats vaccins dans le monde.

Certains sont des vaccins inactivés. C’est le cas des deux vaccins chinois fabriqués par le laboratoire Sinopharm : ils sont administrés depuis juillet dernier, alors que commençaient tout juste les essais cliniques de stade 3 (tests du vaccin sur plusieurs dizaines de milliers de personnes).

Il y a aussi des candidats vaccins à protéines recombinantes, qui utilisent la protéine de surface du virus : c’est le cas du projet américain Novavax, de la société canadienne Medicago, et de l’un des deux candidats vaccins de Sanofi/Pasteur.

Les deux vaccins disponibles en France, je le disais, sont des vaccins à ARN messager ou à ADN , produits par les sociétés pharmaceutiques Pfizer-BioNTech et Moderna. Il s’agit d’une nouvelle technologie de vaccin, qui consiste à n’injecter qu’une partie du matériel génétique, celle qui détient le secret de fabrication de la protéine Spike. L'idée consiste à essayer de faire fabriquer directement les anticorps par la personne concernée. Dans le cadre des vaccins à ARN, ce peut être un morceau de l’ARN viral, qui va être le « messager » : comme l’information génétique ne peut pénétrer seule dans les cellules, elle nécessite un vecteur, c’est-à-dire une petite capsule, une nanoparticule de graisse dans laquelle on a emprisonné une partie du matériel de SARS-CoV-2, qui n’aura aucune difficulté à fusionner avec les bicouches de graisse de nos propres cellules.

Il existe également des vaccins à ADN, qui utilisent un vecteur qui est un autre virus que le SARS-CoV-2. C’est le cas du vaccin développé par AstraZeneca, ou du vaccin Spoutnik-V développé par la Russie, qui utilisent comme vecteur un virus recombinant et inopérant, un adénovirus à ADN (responsable de ces états grippaux hivernaux que nous confondons souvent avec la grippe). La partie du virus qui a été éliminée pour le rendre inopérant est alors remplacée par une partie du virus SARS-CoV-2 afin de déclencher la réaction immunitaire ; c’est ce que l’on appelle un virus recombinant . Ce dernier va délivrer dans nos cellules du matériel génétique hybride, fait d’une partie de l’adénovirus et d’une partie du SARS-CoV-2. Pour que l’ARN du SARS-CoV-2 puisse être intégré dans la cellule hôte, il doit d’abord être converti en ADN au moyen d’une enzyme : la transcriptase inverse. Cette réaction se fait en laboratoire, et permet de récupérer une « version ADN » du génome du SARS-CoV-2 qui n’existe pas dans la nature, afin de l’injecter dans l’organisme.

Quels sont les questionnements et les risques que soulèvent ces nouvelles technologies vaccinales ?
Commençons par les vaccins à ADN.
Le risque est que l’ADN vaccinant s’intègre dans nos propres chromosomes et modifie notre propre ADN. On a déjà des exemples d’effets inappropriés de ce type de virus dans le cadre d’essais de thérapies géniques, car on ne maîtrise pas toujours le site où l’ADN réparateur va s’insérer. Au lieu de s’insérer dans le bon site, il peut choisir des oncogènes[6], entraîner des risques prolifératifs, et donc, à terme, des tumeurs cancéreuses. C’est ce qu’il s’est passé en 2003 dans des essais de thérapies géniques où deux enfants souffrant d’un déficit immunitaire sévère avaient développé une leucémie[7]. Cela s’appelle de la mutagenèse insertionnelle[8]. Si le risque est encore acceptable dans le cas d’essais thérapeutiques sur quelques personnes déjà très malades, il ne l’est pas dans le cadre d’un vaccin destiné à des millions de personnes.

D’autres essais cliniques d’immunothérapie pour traiter le cancer ont utilisé cette même injection de matériel viral d’un adénovirus recombinant, étranger à notre corps, et ont pu conduire à des réactions immunologiques imprévues chez certaines personnes, dont des maladies auto-immunes et des déséquilibres immunitaires.

Poursuivons avec les vaccins à ARN.
C’est un peu différent avec l’ARN, car il reste dans le cytoplasme[9] de la cellule et ne peut entrer en contact avec les chromosomes de la personne, et donc s’y insérer. Cependant, il y a un risque commun à l’ADN et à l’ARN, c’est le risque de recombinaison virale , dû au fait que les virus échangent facilement du matériel génétique entre eux, à condition qu’ils soient de même nature. Cela peut conduire à des virus recombinants, qui seront constitués en partie du matériel génétique de l’un et l’autre virus, sans que l’on puisse savoir à l’avance quel sera la virulence de ce nouveau virus. Par exemple, le virus H1N1 était un triple recombinant de la grippe porcine, de la grippe aviaire et de la grippe humaine ; mais il a, heureusement, rapidement disparu.

Pour que cette recombinaison se produise, il faut qu’une cellule soit infectée en même temps par deux virus, ce qui est extrêmement peu probable. Sauf que dès lors que l’on introduit du matériel génétique viral volontairement dans des cellules à des fins de vaccination, il suffit que ces mêmes cellules soient infectées par deux virus de même nature (virus vaccinant et virus infectant) pour que le phénomène se produise. Bien entendu, les probabilités restent extrêmement faibles, parce qu’il faudrait que les cellules soient infectées au même moment. On peut imaginer que cela ne pourrait se produire que pour une personne sur 1 million ou une personne sur 100 millions, ce qui est effectivement très faible, mais non nul dans la mesure où le but est de vacciner des centaines de millions de personnes. Le risque en vaut-il la chandelle ? Le risque doit-il être considéré à l’échelle de l’individu ou à l’échelle de la population ? Ce nouveau virus serait-il en mesure d’aller infecter à nouveau toute une population ? Nul ne le sait, mais il ne faut jamais perdre de vue qu’il suffit qu’un nouveau virus émerge, un jour, quelque part, pour que les conséquences soient mondiales. Pour conclure, ce phénomène, bien qu’ayant une très faible incidence, pose vraiment la question de la prise de risque à l’échelle de la population mondiale. Ne devrions-nous pas préférer d’anciennes technologies vaccinales qui ont déjà fait leurs preuves ?

Nous sommes devant un nouveau virus aux symptômes et aux conséquences imprévisibles : certains perdent le goût et/ou l’odorat, d’autres non, certains les retrouvent rapidement, d’autres non, certains ont des symptômes prolongés et inexpliqués, que l’on nomme « Covid long », d’autres non.

Alors, nous dit Christian Vélot, faut-il ajouter le risque, même très faible, d’une nouvelle technologie vaccinale, à ce nouveau virus ?

Il ajoute, et je le rejoins complètement sur ce point, que l’on se désole que la France soit en retard dans cette course aux vaccins, mais l’on n’est pas dans une compétition sportive ! La question n’est pas de savoir qui va franchir le premier la ligne d’arrivée, mais qui va la franchir dans les meilleures conditions !

Quitte à cohabiter un peu plus longtemps avec ce virus, avec les mesures barrières que nous connaissons, prenons le temps de trouver un vaccin ou un remède qui ne puisse en aucun cas être pire que le mal.

La biosécurité[10] et la fiabilité ne sont pas compatibles avec l’urgence, que cette urgence soit sanitaire, économique, politique ou financière.

Je souhaite sincèrement qu’avec tous ces éléments, chacun puisse prendre ses décisions en toute connaissance et toute responsabilité, en fonction de sa situation personnelle : âge, antécédents, comorbidités, degré d’exposition, etc… La retranscription de cette conférence n’avait d’autre but que de vous éclairer dans ce choix.

Docteur Dominique Rueff

Pour consulter les sources de cet article, rendez-vous ici

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Re: Hold Up

Message par PatrickS »



SEP primaire progressive depuis 2002, seul traitement: le régime Seignalet depuis fin mars 2009


https://www.facebook.com/pages/Sans-Glu ... 9198110360

Avant de poster, merci d'utiliser le moteur de recherches, la réponse est surement déjà là : http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum/search.php
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Re: Hold Up

Message par PatrickS »

Bonjour,

Un article très intéressant ou on se pose des questions à propos des chiffres annoncés.

Quelques extraits:

On constate qu’il y a presque autant de décès covid cet automne qu’au printemps. Cependant cela ne colle pas avec le nombre de passages aux urgences pour covid. Surtout depuis le 20 novembre où le nombre de décès covid est très proche (entre 50% et 60%) du nombre de passages aux urgences pour covid, contrairement au début de la “deuxième vague” où ce pourcentage (environ 25%) était déjà énorme par rapport à celui du printemps (environ 10%).
En suivant ces données cela signifierait donc qu’actuellement entre 50% et 60% des personnes qui passent aux urgences pour covid en décéderaient alors qu’en mars ce n’était que 10% d’entre elles.


On s’était déjà aperçu en Septembre que les ARS avaient changé des dénominations. Et si la réponse se trouvait dans le changement de dénomination pour les décès, hospitalisations et réanimations

Décès : L’appellation d’avant mi-octobre de cette rubrique “personnes nouvellement décédées pour Covid 19” est devenue après mi-octobre “nouveaux décès avec diagnostic Covid”.

Donc les patients décédés comptés depuis mi octobre ne sont plus décédés du Covid, mais décédés sans cause précisée, avec un diagnostic (test PCR positif...) Covid !
En regardant les décès avant mi-octobre


Dans les graphiques de Santé Publique France, on note qu’il ne s’agit plus uniquement de réanimation. Il est désormais indiqué entre les parenthèses “SR/SI/SC”. (SR veut dire Service Réanimation, SI = Soins Intensifs et SC = Surveillance Continue).

En France, il y a 19 600 lits pour ces trois catégories (voir illustration ci-dessous) et non les seuls 5400 lits de réanimation pure et dure dont on tire, avec le chiffre actuel de ces 2700 patients en “Réa”, un taux d’occupation objectivement exagéré et fallacieux de 50%, alors que s’il était rapporté aux 19600 lits des trois catégories de ces 2700 patients on aurait un taux de 13% comme déjà expliqué dans un précédent point d’information.


On peut observer que le nombre de tests a triplé depuis mi-décembre.
... alors que le nombre de positifs n’a augmenté que de 10 à 15 % depuis la même date.


Quel est donc le jeu ou le but recherché ?
Les mesures du gouvernement sont de moins en moins compréhensibles pour certains.
Pourquoi gonfler les chiffres mi-octobre en changeant les appellations ? Serait-ce pour faire un justifier un deuxième confinement ou masquer autre chose?

L’explosion fictive des nouveaux cas (tests positifs) alors qu’elle est faible comparé au nombre de tests et que bien des experts appellent à la prudence dans l’usage et l’interprétation des tests entraine ou maintient un état de crainte ou de peur du virus dans la population. Est-ce pour anticiper la justification d’un troisième confinement ?

La peur légitime d’une maladie combinée avec l’accentuation de cet effet suscité par les autorités au travers de mesures liberticide, et le fait que l’inquiétude grandit du avec l’économie en berne, les restaurants, cinémas, lieu de culture, les stations de skis sont fermées, pose question. A quoi joue les autorités ?

Serait-ce uniquement pour faire accepter un vaccin que prêt de 60% des français ne sont pas prêt à accepter ?

Décidément, tout cela demande un profonde explication et enquête parlementaire indépendante afin de restaurer la confiance quand plus de 50% des français n’ont pas confiance dans le gouvernement.


L'article complet avec les graphiques => https://www.francesoir.fr/societe-sante ... jouent-ils

Patrick


SEP primaire progressive depuis 2002, seul traitement: le régime Seignalet depuis fin mars 2009


https://www.facebook.com/pages/Sans-Glu ... 9198110360

Avant de poster, merci d'utiliser le moteur de recherches, la réponse est surement déjà là : http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum/search.php
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Re: Hold Up

Message par clear »

Ce vaccins qui aggravent la maladie
Chère lectrice, cher lecteur,
Depuis quelques semaines, les médias ont une nouvelle lubie : les mutations du virus, et spécialement, le « variant anglais ».
Pourtant, il est évident que le virus n’a pas attendu 1 an pour commencer à muter !
En effet, un virus mute sans arrêt en se reproduisant, et toujours en devenant moins virulent (c’est la nature même d’un virus).
Or rappelons la réalité des chiffres, si vous le voulez bien. Pour ce qui est de la pandémie, les morts sont : Assez rares (1 personne sur 2000) ; Essentiellement des personnes assez âgées (84 ans en moyenne) ; Parfois atteintes de plusieurs maladies graves1.
Certes, il semble vrai qu’il puisse y avoir des conséquences cardio-vasculaires à moyen terme, mais leurs incidences ne sont que rarement mortelles.
Faut-il rendre la vaccination obligatoire ? Il n’y a que le « virus de la peur » qui rende cette vaccination nécessaire, et le chantage qu’on nous fait en nous retirant ce qui fait le sel de nos vies : la culture et les sorties. Mais je vous prie de bien écouter les porteurs de nouvelles : vous n’entendrez de leur part aucune vraie promesse que le vaccin vous rende une vie normale. Ce n’est malheureusement pas parce qu’on vous vaccine qu’on vous garantit que vous pourrez profiter de votre famille et de vos amis, du musée, du restaurant, du théâtre, du cinéma, des boîtes de nuit…
La panique n’a jamais servi à rien On a donc vu l’Angleterre s’alarmer et vacciner en masse, de même qu’Israël (plus d’1 million de vaccinés !) et l’Allemagne. Si le processus de vaccination traîne, c’est peut-être aussi que les médecins français sont plus circonspects sur la thérapie génique de Pfizer BioNtech, sur laquelle on n’a aucun recul ! Comme l’a récemment souligné mon ami Xavier Bazin, les conséquences de cette injection avec ARN messager pourraient être catastrophiques. Cela pourrait engendrer un nouveau virus, par une combinaison inopinée du virus vivant, qui pourrait s’avérer tout aussi contagieux. Mais avant tout, je voudrais vous parler d’une très importante étude de 2012, qui a récemment refait surface. Elle nous rappelle que la vaccination n’est PAS la panacée face aux virus. Pire encore, elle pourrait être contre-indiquée contre la « pandémie ». Et en un mot, comme en 100, la vaccination pourrait même faire exploser le nombre de morts. Si la vaccination rendait le virus encore plus mortel ?
C’est en particulier deux personnalités éminentes et critiques de la politique sanitaire actuelle, qui en ont discuté : la généticienne Alexandra Henrion-Caude, chercheuse à l’Inserm, et l’épidémiologiste irlandaise Dolores Cahill. Cette étude de 2012, publiée dans la revue PlosOne, qui a le mérite d’être la revue médicale la plus lue au monde, avère que la vaccination sur les coronavirus des souris a eu pour résultat des effets inverses à ceux recherchés ! Les cobayes étaient en effet plus sensibles à la maladie et avaient plus de risques de mourir que ceux qui n’avaient pas été vaccinées ! L’étude conclut que la vaccination n’est pas le traitement adéquat pour ce type de virus, et ne devrait pas être administrée chez les humains. Du moins, elle devrait être essayée avec la plus grande précaution2. Évidemment, on ne vous en parle pas, et on met en avant la vaccination comme un sésame pour la liberté… ce que, répétons-le, elle n’est pas ! 30 000 soignants français contre-attaquent Les médecins français reçoivent environ 3 courriels par jour de leur administration pour les contraindre à vacciner au lieu de traiter, comme en témoigne Violaine Guérin3. Ce médecin, farouche défenseure du traitement contre la pandémie, a lancé un important manifeste, afin que ce traitement soit préféré à la vaccination. Je vous encourage, si vous trouvez le temps, à signer ce manifeste qui gêne d’ores et déjà beaucoup le gouvernement français. En outre, Violaine Guérin et les quelque 30 000 soignants qui la soutiennent, militent pour la création d’un comité scientifique indépendant.
Le matraquage vaccinal :
Pourquoi certains États occidentaux insistent-ils tellement sur la vaccination ARN, alors que ni l’Asie ni l’Afrique ne le font ? La réponse tient probablement dans les rapports très étroits qu’entretient l’administration avec les laboratoires pharmaceutiques comme c’était le cas pour les laboratoires Servier4, producteurs du tristement célèbre Mediator. Bien entendu, ce n’est pas l’argument que l’on nous sert. Or cette expérimentation est sans précédent, tant du point de vue des populations atteintes que de la dangerosité potentielle des produits injectés. Le traitement ARN n’est pas un vaccin au sens où l’on vous inoculerait un virus atténué ou « mort » afin que votre corps apprenne à se défendre contre lui. C’est un traitement qui consiste à jouer sur le clavier de vos gênes, et qui pourrait être changé en fonction des évolutions des épidémies. Il serait ainsi beaucoup plus souple et beaucoup plus efficace que la vaccination conventionnelle… Dans la réalité, un vaccin a besoin d’être conservé à température très basse (-70°C) pour ne pas être altéré. On ne sait donc pas comment il joue sur nos gènes, d’autant plus qu’il n’a pas été adapté aux mutations récentes du virus ! Il est donc possible que ce vaccin soit très dangereux, sans servir à quoi que ce soit !
Que restera-t-il de la médecine ?
On comprend le manque d’empressement des médecins et des autorités de santé à prescrire ce « vaccin » ! Si les labos sont exonérés de toute responsabilité juridique, de tout dommage et d’intérêt, la réputation des autorités de santé et des médecins est en jeu. Plus encore, la réputation de toute la médecine occidentale est sur la sellette. D’autant que, répétons-le, la totalité des vaccins disponibles actuellement ont été produits dans un temps très court : 6 à 8 mois – 1 an au plus ! Or il faut en moyenne une dizaine d’années pour arriver à des résultats à peu près probants. Le vaccin contre la grippe a mis 15 ans à être développé, et les chercheurs travaillent chaque année pour l’adapter aux mutations du virus… … avec des succès pour le moins mitigés, puisque pour la grippe, 1 personne vaccinée sur 2 n’est pas immunisée. Les vaccins contre la pandémie arrivent donc sur le marché avec un temps de retard sur la mutation naturelle des virus, avec une efficacité incertaine… … et des effets secondaires qui, eux, seront très réels. On ne peut pas croire les labos Les premières vaccinations au Royaume-Uni se sont mal passées. Si mal que le gouvernement a demandé aux gens allergiques de ne pas se faire vacciner5… Partout dans le monde, le personnel de santé freine des 4 fers. Un médecin de 56 ans est mort en Floride, 2 semaines après avoir été vacciné6. Pourtant, ni sa condition physique, ni son âge, n’auraient dû conduire à pareille conséquence. En Norvège, il y a eu 13 personnes résidents de maison de repos dont il a été attesté par autopsie que la mort était directement due à l’injection du vaccin ARN Pfizer BioNtech. Une enquête a été ouverte à ce sujet7 et Sigurd Hortemo, la directrice norvégienne de la santé, a remis en cause la nécessité de vacciner les personnes les plus fragiles – surtout celles affectées par d’autres maladies. En outre, des vidéos circulent sur des effets secondaires particulièrement déplaisants à court terme, comme cette femme qui est prise de violentes convulsions qui ne s’arrêtent plus8 ou bien d’autres infirmiers encore9. C’est également le cas d’une infirmière canadienne certifiée, Shawn Skelton10, dont le cas commence à faire du bruit11 mais dont vous n’entendrez certainement pas parler dans les médias francophones traditionnels. Ils préfèrent vous faire sentir qu’il est important de montrer l’exemple en vous faisant vacciner ! Cependant personne n’a encore établi objectivement l’efficacité réelle du vaccin, hormis des études internes. Donc, si le patient vacciné tombe malade en plus de subir les effets secondaires du vaccin, cela s’annonce comme UNE DOUBLE PEINE pour lui. C’est quoi, ce vaccin « OGM » ? J’ai été parmi les premiers à vous parler du « vaccin » à ARN messager, technologie aussi bien utilisée par Pfizer-BioNtech que par ModeRNA. Le fonctionnement de cette technologie est en principe assez simple. Dans un vaccin « classique », on vous inocule un virus désactivé ou atténué, afin que votre corps s’habitue à traiter avec cet élément étranger. Ainsi, vous fabriquez les armes (les anticorps) pour détruire le virus dès qu’il est « repéré » dans votre corps. D’autre part, dans le vaccin ARN, on influe directement sur le code des cellules de façon à ce que, si elles devaient repérer le virus, elles l’éliminent.

Le Professeur Christian Perronne assimile plus cette méthode à de la thérapie génique qu’à de la vaccination12. La différence est celle qu’il y a entre le fait d’être entraîné à tirer au fusil en cas d’urgence et celui d’être conditionné à tirer au fusil en cas d’urgence – ce qui peut causer beaucoup plus d’accidents (et des graves !). En vérité, ces « messages » envoyés au code de nos cellules n’ont pas vocation à rester dans les cellules, au contraire d’un vaccin ADN. Ils ne servent qu’à apprendre à vos cellules à se défendre contre un virus. Néanmoins ces messages s’impriment dans votre code génétique. Donc dans la réalité, ce « vaccin » vous change pour toujours. Ces changements pourraient provoquer des surréactions immunitaires, des maladies auto-immunes, des cancers, mais aussi des maladies complètement nouvelles. Ils jouent, VOUS PAYEZ Cette nouvelle technologie de vaccination représente un enjeu énorme pour la recherche, et ce à deux titres. D’abord on aura la capacité, chaque fois qu’on aura identifié une nouvelle mutation du virus, d’ordonner à nos défenses immunitaires de le détruire. Mais le revers de la médaille est considérable. Aucune compagnie pharmaceutique, et aucune assurance, ne se porte garant des effets possiblement désastreux du vaccin (de celui-ci comme des autres). C’est finalement l’Union Européenne qui les dédommagera, c’est-à-dire vos impôts!13 Vous l’avez donc compris, dans cette histoire de vaccin, vous êtes toujours perdant, et l’industrie pharmaceutique, elle, toujours gagnante. Pas étonnant qu’elle veuille continuer à jouer « quoi qu’il en coûte » ! Sur ce, portez-vous bien,

Dr. Thierry Schmitz


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PatrickS
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Re: Hold Up

Message par PatrickS »

Bonjour,

Merci pour cet article. Je suis d'accord avec le tout.

Patrick


SEP primaire progressive depuis 2002, seul traitement: le régime Seignalet depuis fin mars 2009


https://www.facebook.com/pages/Sans-Glu ... 9198110360

Avant de poster, merci d'utiliser le moteur de recherches, la réponse est surement déjà là : http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum/search.php
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Re: Hold Up

Message par clear »

Ce que je vous mets ci-dessous est juste le dernier paragraphe de la newsletter du Dr Willem, qui nous concerne, nous les personnes atteintes de maladies auto-immunes.

Ps : voici quelles pourraient être les contre-indications du vaccin : les fabricants du vaccin ARN messager avaient déconseillé le vaccin aux allergiques. Personnellement, j’ajoute les porteurs de maladies auto-immunes (il y a 5 à 6 millions de Français atteints).

Ces deux états correspondent à une réaction immunologique excessive et incontournable.

Ce fut le cas pour le médecin californien mort d’une pathologie hémorragique auto-immune.

Il est impérieux de trouver la cause des 23 personnes très âgées qui sont mortes en Norvège après avoir reçu la première injection. Les effets secondaires habituels se manifestent par de la fièvre, une diarrhée ou des nausées.


sab14
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Re: Hold Up

Message par sab14 »

Merci Clear, pour tes infos





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IVERMECTINE

Message par PatrickS »

Bonjour,

L'ivermectine est un antiparasitaire utilisé depuis la fin des années 80 dans le traitement de maladies comme l'onchocercose également appelée « cécité des rivières ». Il s’agit d’une filariose cutanée due à un nématode, Onchocerca volvulus, transmis à l'homme par la piqûre d'une petite mouche noire, une simulie, qui se reproduit à proximité de cours d'eau. L'OMS note que l'ivermectine est un médicament "sans danger et peut être utilisé à grande échelle", dans le cadre de la lutte contre la cécité des rivières, et qu'il "a transformé la vie de millions de personnes souffrant de l'onchocercose depuis son introduction en 1987."

Ce médicament est connu dans nos pays pour lutter contre la gale (1)



Dès le mois d’avril 2020, les scientifiques australiens ont identifié l’ivermectine comme traitement possible de la Covid-19 (2)

Aujourd’hui, de nombreuses publications internationales attirent l’attention sur l’efficacité de l’ivermectine contre la Covid-19, à tous les stades: aussi bien en prophylaxie, qu’en traitement précoce ou tardif.


Une bonne façon de se faire une idée de l’intérêt de l’ivermectine est de se référer au rapport de l’audition du Dr Pierre Kory au Sénat américain le 8 décembre 2020 (3)

L’ivermectine est efficace contre la COVID-19, sur la base des données de :

– 24 essais, incluant un total de 7 825 patients, utilisant des groupes de contrôle bien appariés
– 20 essais contrôlés et randomisés
– 12 des 24 essais ont été publiés dans des revues à comité de lecture, 3 926 patients, le reste en prépublication

https://ivermectine-covid.ch Revue des données sur l’efficacité de l’ivermectine pour la COVID-19 (4) (5)

Le rôle potentiel de l’ivermectine comme agent thérapeutique et prophylactique de la Covid-19 est abordé dans une autre analyse d’études imprimées et préimprimées. Des bénéfices positifs en termes de mortalité, de réduction du temps de rétablissement clinique, de réduction de l'incidence de la progression de la maladie et de diminution de la durée d'hospitalisation ont été signalés chez les patients à tous les stades de la gravité clinique dans les études retenues. (6)

Adoptée dans plusieurs pays : Inde, Egypte, Argentine, Mexique, Pérou, Uruguay…et la Macédoine il y a un mois déjà, la Slovaquie premier pays de l'UE depuis hier.

Action in vitro prouvée sur des virus, comme le virus PVR de la pseudo rage porcine, un virus à ARN, comme le Covid-19. En inhibant l’ADN polymérase UL42 (7) l'ivermectine est efficace pour réduire quasi-totalement, en 48 heures, la charge virale du coronavirus (8).

Action prophylactique démontrée

Etude observationnelle, non randomisée, prospective d’Hector Carvallo (9) en Argentine, sur le personnel hospitalier. Après 3 mois de prise hebdomadaire de 12 mg d’ivermectine, aucune des 788 personnes n’a développé la Covid, contre 237 sur 407 (58%) du groupe contrôle.

Ce n'est pas l'étude la plus rigoureuse, mais trois RCT en prophylaxie sont positives : Shouman, ElGazzar (qui concerne les trois phases : prophylaxie post-exposition, traitement précoce et traitement tardif), et Ivercar-Tuc (non publiée encore).

Action thérapeutique validée

En début de maladie : empêche son entrée dans les cellules, sa réplication, sa multiplication.

A l’hôpital : action antiinflammatoire, Pierre KORY (10)

Le site https://c19ivermectin.com (11) a colligé les résultats de 45 études. 29 études en médecine humaine dont 27 montrent des résultats positifs avec 81% de résultats positifs, Les 2 études négatives ne sont pas recevables sur le plan méthodologiques

Dans le Journal International des agents antimicrobiens, Martin Hellwig et coll (12) après une revue de la littérature, constatent que « les pays où la chimio-prophylaxie par Ivermectine est administrée en masse, ont une incidence significative sur les contaminations par Covid-19. »

Première étude randomisée celle de Shouman (13), dans le groupe traité, seulement 7.4% des cas contacts ont développé des symptômes de la Covid-19 dans les 2 semaines après inclusion, contre 58.4% dans le groupe contrôle. Ceci correspond à une réduction du risque de 87% très significative (p<0.001).

Seconde étude contrôlée randomisée d’Elgazzar (14), la réduction du risque de transmission est de 80% après 2 doses d’ivermectine par rapport au groupe contrôle



Posologie, selon Paul MARIK (15)

150-200 ug/kg ou 12 mg (≤ 80kg) ou 18 mg (≥ 80kg)

Prophylaxie : 200 ug/kg à J1 et J3

Sujet à haut risque (200 ug/kg à J1, J3 et toutes les 4 semaines.

Symptomatique à domicile : Ivermectine 150-200 ug/kg, 2 doses.

Isolé ou combiné ? avec AZM, HCQ, vitamine D, vitamine C, Zinc, quercétine, des études complémentaires sont nécessaires

Entre une vaccination générale, dont on ne connait ni l’efficacité, ni les conséquences à moyen ou long terme et un traitement efficace, sans danger, bon marché, hésiter pour un gouvernement est équivalent à une non-assistance à personne en danger

Pour les détracteurs, les études sont des prépublications non validées par leurs pairs, mais la plausibilité est suffisante pour se lancer, sans risque, faire confiance à des études observationnelles, sans attendre d’études randomisées (16). Le Président Macron n’a cessé de le répéter, « nous sommes en guerre », et donc ce qui importe c’est de faire face à l’adversité AUJOURd’HUI, à défaut de l’avoir réalisé hier, le temps n’est pas à l’étude scientifique mais à aider les patients.

A ce jour, les preuves accumulées démontrant l’efficacité et la sécurité d’emploi de de l’ivermectine dans le COVID-19 sont en faveur de son utilisation immédiate sur la base d’un calcul risque/bénéfice dans le contexte d’une pandémie. Elles justifient la demande de Recommandation Temporaire d'Utilisation pour l’Ivermectine. Celle-ci est faite par l’avocat Jean Charles Teissèdre

La Recommandation Temporaire d’Utilisation (RTU) a été créée par la Loi n°2014-892 du 8 août 2014 – art 10, créant un Article L. 5121-12-1 au Code de la Santé Publique (https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id ... 021-07-01/ ), afin de permettre et sécuriser la prescription d’un médicament bénéficiant d’une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM), en cas de besoin, dans une indication ne correspondant pas à celle de son AMM.

L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), chargée de délivrer cette autorisation, précise les deux conditions exigées pour élaborer cette RTU :

« - qu’il existe un besoin thérapeutique

- et que le rapport bénéfice/risque du médicament soit présumé favorable, notamment à partir de données scientifiques publiées d’efficacité et de tolérance ».

L’Ivermectine répond donc favorablement à ces deux exigences.

BIBLIOGRAPHIE
1 - C.Bernigaud et col : Bénéfice de l’ivermectine : de la gale à la covid19 un exemple de sérenpidité. Annales de Dermatologie et de Vénérologie ; Dec 2020 ; Vo 147 ,issue 12 ; p A194
2 - Kylie Wagstaff : Lab experiments show anti-parasitic drug, Ivermectin, eliminates SARS-CoV-2 in cells in 48 hours. Monash Biomedicine Discovery Institute. A avril 2020
3- Testimony of Pierre Kory, MD Homeland Security Committee Meeting: Focus on Early Treatment of COVID-19 December 8, 2020
4 - https://ivermectine-covid.ch Revue des données sur l’efficacité de l’ivermectine pour la COVID-19
5 - https://ivmmeta.com : Ivermectin is effective for COVID-19: meta analysis of 28 studies Covid Analysis, November 26, 2020 (Version 11, January 4, 2021)
6 - Stefanie Kalfas et col : The therapeutic potential of ivermectin for Covid-19 : a systematic review of mecanism and evidence . Med RXiv 4 decembre 2020
7 – Changjie Lv et col : L’Imervectine inhibe l’ADN polymérase UL42 du virus de la pseudorage dans le noyau et la prolifération du virus in vitro et in vivo. Recherche antivirale novembre 2018 ; vol 159, 55-62
8 - Leon Caly et col : The FDA-approved drug ivermectin inhibits the replication of SARS-CoV-2 in vitro. Antiviral Research. Juin 2020 ; Vol 178, 104787
9 - Hector Carvallo et col : Protocolo: https://www.cadenanueve.com/wp-content/ ... ltados.pdf
10 – Pierre Kory, Debriefing France Soir 10.12.2020
11 - https://c19ivermectin.com : résultats de 45 études, dont 29 humaines et 27 positives
12 - Martin D.Hellwig, Anabela Maia : A COVID-19 prophylaxis? Lower incidence associated with prophylactic administration of ivermectin. International Journal of Antimicrobial Agents, 28 novembre 2020, 106248
13 - Waheed Shouman : Use of Ivermectin as a Prophylactic Option in Asymptomatic Family Close Contacts with Patients of COVID-19 https://clinicaltrials.gov/ProvidedDocs ... AP_000.pdf
14 - Ahmed Elgazzar : Efficacity and Ssafety of Ivermectin for treatment and prophylaxis of Covid-19 pandemic. https://www.researchsquare.com/article/rs-100956/v2
15 - Paul MARIK : EVMS Covid 19 Management protocol, an overview of the MATH+ and I-MASK Protocols. 17 décembre 2020 . : https://www.evms.edu/covid-19/medical_i ... resources/
16 -Mike Bray et col : Ivermectin and COVID-19: A report in Antiviral Research, widespread interest, an FDA warning, two letters to the editor and the authors' responses. Antiviral Res. 2020 Jun; 178: 104805

Auteur(s): Dr Gérard Guillaume, pour FranceSoir
https://www.francesoir.fr/opinions-trib ... la-planete


Patrick


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Avant de poster, merci d'utiliser le moteur de recherches, la réponse est surement déjà là : http://www.lappart-des-spasmos.fr/forum/search.php
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Re: Hold Up

Message par clear »

1) Personne n'a entendu aux infos de FR3 de mardi ou mercredi puis le lendemain vers 11h lors de l'émission de Morandini sur Cnews, le directeur d'un labo de recherches de Marseille qui parlait d'un spray nasal efficace à + de 99% qu'ils avaient mis au point et que l'Allemagne, la Belgique et l'Espagne lui avaient passé commande. La France ne se manifeste pas, ça on a l'habitude, (de peur que plus personne ne veuille se faire vacciner !)
Ce spray s'instille donc dans le nez dès qu'on a cotoyé beaucoup de monde ou que l'on est en début de contamination.

2) Lors d'une conférence mardi soir, le toubib a dit que des "ordres des médecins" de certaines régions menaçaient de radiation les médecins qui dénigraient le vaccin. On en est là !


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Re: Hold Up

Message par florianette »

bonjour à tous,

je n'ai pas encore lu tous ces articles car je viens d'arriver parmi vous. L'appart organisé en arborescence, suscite beaucoup d'intérêt. En attendant, je voudrais savoir si parmi vous, certains se sont fait vacciner contre le covid, et si oui, quelles ont été les conséquences ou pas. Merci pour votre réponse.

A très bientot

Floriane


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