Soutien pour effectuer le regime de Jean seignalet sans gluten sans produits laitiers sans maïs pour les maladies auto-immunes crohn sep spasmophilie tétanie fibromyalgie acné polyarthrite psoriasis dépression, cet espace est tenu par des malades.
C'est difficile pour nous de vivre avec ces cochonneries qui polluent notre quotidien mais je pense que c'est très compliqué pour nos moitiés de nous voir ainsi...
Chez Zébrou nous essayons de vivre chaque petits bonheurs..."Ne comptez pas les jours, faites que les jours comptent"....notre petite phrase...
Je ne sais pas trop quoi te dire pour te réconforter....les autres collocs trouveront les bons mots!!!
Je te comprends..Elizzz je sais ce que tu ressens et le fait que tu dois t’oublier pour venir en aide aussi à ton compagnon même si cela est dur car il n’y a pas que lui à convaincre
faut lui dire que tu es soignée, que tu vas de mieux en mieux, et que cela va continuer, que tu as bon espoir...
Que tu t’accroches et qu’il peut te faire confiance..
Faut que tu y crois toi-même pour faire passer le discours
Courage à toi
Je suis passée par là aussi, supporter les reproches, les inquiétudes, voir la frustration de l’autre et même être seule lors des consultations et examens. Ne pas trop se plaindre, prendre sur soi et avoir peur d’avance de ne pas être opérationnelle et vivre tout simplement.
Mais j’ai beaucoup parlé, écouter son inquiétude, on a partagé nos doutes et peu à peu on profitait de ce qu’on pouvait ( au début 10 minutes de marche c’etait un exploit! Et 5 minutes debout).
Et peu à peu il a vu les progrès, s’est rassuré et m’a épaulé.
Pas facile pour les proches, on fait tous comme on peut. Donc courage et surtout parlez parlez pour ne pas laisser la maladie mettre des freins dans votre relation.
Je le laissais volontiers sortir seul et profiter car je savais que je ne pourrai pas suivre, il est partit en vacance seul etc et je lui disais profites à fond et sans inquiétude et culpabilité
Rémission totale des symptômes de fibromyalgie, plus de douleurs ni au repos, ni à l'effort. Je peux cuisiner et m'adonner à mes passions sans soucis!
D'ailleurs en parlant de cuisine, vous pouvez voir mes recettes ici et elles sont toutes à l'Appart aussi: http://assiettedecalee.blogspot.fr/
Je suis d'accord avec tout ce qui t'a été répondu par les colocs.
Et puis, il a peut-être entendu une réflexion des amis qui vous hébergeaient lui dire que ça ne devait pas être facile tous les jours ?
merci à tout le monde pour le soutien <3 ca fait du bien!
ce qui est le plus difficile pour moi, je crois, c'est qu'il m'a vue dépérir, il était avec moi quand j'ai perdu l'usage de mon premier pied, puis du second, puis de ma main. Il était là pour me pousser dans ma chaise roulante. Il était avec moi lorsque j'ai perdu la tête, que je me suis perdue dans la rue, que je me croyais folle.
Il était là pendant mon traitement antibiotique, quand je vomissais mes tripes, oui il était là.
Bien sur, il continuait faire sa vie un peu de son côté, sortir avec ses amis quand je suis bien installée dans mon lit, faire ses 2 heures de musiques par jour pendant que je fais ma sieste, etc, mais on a toujours fonctionné ainsi, même bien avant ma maladie!
Et jamais il ne s'est plaint! jamais il ne m'a dit que c'était pesant, bien au contraire! On a continué à partir en petits w-e, à faire des sorties, en adaptant toujours selon la situation (on est même parti en w-e avec un seau pour vomir!)
Et maintenant, que je remarche, que je remange, que je dors moins, que j'ai retrouvé (presque) ma tête!!!!!
Là!
Il me dit qu'il me trouve malade
elizzz a écrit :
Et maintenant, que je remarche, que je remange, que je dors moins, que j'ai retrouvé (presque) ma tête!!!!!
Là!
Il me dit qu'il me trouve malade
Pourquoi?
Je crois qu'il a vu tes progrès et que pour lui tout allait bien.
Mais comme tout n'est pas revenu à la normale, il te trouve malade (iil espérait peut être qu'il ne reste plus aucune séquelle?)
Patrick
SEP primaire progressive depuis 2002, seul traitement: le régime Seignalet depuis fin mars 2009
Ce qui serait bien c’est que vous en parliez vraiment à cœur ouvert ensemble.
Ce que je pense (mais je me trompe peut-être) : il a tellement envie que tu sois bien qu’il est aux aguets...et il a tellement donné avant qu’à présent il redoute la moindre chose.
Il t’aime et s’inquiète.
Comme le disait Salta, Il a sans doute besoin de souffler, de trouver son espace et de prendre soin de lui aussi par moments.
Mais parlez, parlez, parlez tous les deux...!
Laure http://www.jas-des-amouries.com Plus ou moins fibro, plus ou moins pso, plus ou moins "on ne sait pas quoi "....depuis 2010. Mais qui va tellement mieux avec sa nouvelle alimentation ! Merci l'Appart' !
Je me disais, .... parce que je me dis beaucoup de chose tellement je suis expert dans les relations conjugales
bref dès fois quand l'autre est malade, faible, ... et qu'on l'aide, on compatit, qu'on s'occupe d'elle, ... ça nous fait aussi une raison de vivre, un objectif, un projet.
Le jour ou on sent qu'elle va mieux, qu'elle est sur la bonne voie, ... du coup on se sent de plus en plus inutile, sans projet, sans but ... ça peut devenir frustrant quand tout était concentré sur cet objectif et que cet objectif n'a plus lieu d'etre ....
Je sais pas si je me fais bien comprendre tellement ca a l'air zarbi
« Dieu est mort, Marx est mort, moi même je ne me sens pas très bien » : Woody Allen
C’est vrai Dini c’est exactement ce à quoi ce songeais, bravo à toi de l’avoir exprimé et de la part d’un homme cela fait plus vrai car c’est humain cette réaction, et il y a en plus désolée Elizzz mais ton chéri n’y échappe pas le besoin de toujours trouver un responsable à une souffrance, il s’est retenu de se plaindre, mais maintenant que tu vas mieux
Il te le fait savoir
Ce que je t’ai écrit précédemment reste valable
on retrouve un peu ce sentiment chez certains parents quand ils voient leur enfant grandir, qu'il n'a plus besoin de ses parents, qu'il devient autonome ... et le jour ou il part de la maison .... ça crée un vide je pense
« Dieu est mort, Marx est mort, moi même je ne me sens pas très bien » : Woody Allen
je crois que le plus dur, ce n'est pas la maladie mais le regard que les gens bien portants ont sur les malades.
Ils militent dans « droit de naître » mais pensent toujours des « anciens foetus » que nous sommes : « elle s'écoute », « elle est douillette », elle pourrait faire un effort », eux qui sont 15 jours en arrêt de maladie pour un rhume.
J'ai vécu à MARSEILLE et ce que tu racontes de ta promenade dans les calanques ne m'étonne pas du tout . Je déconseille à tout le monde de prendre les bateaux pour touristes qui vont dans les calanques. Au retour notamment, c'est moteur à fond et gens qui vomissent par -dessus le bastingage.
Tiens, en plus, les WC bouchés répandaient 20cm de hauteur d'eau souillée dans la cabine WC.
Par conséquent, j'ai refermé la porte et renoncé mais j'ai failli faire pipi dans ma culotte......
Depuis combien de temps es tu avec ton compagnon ? Qui a décidé d'aller faire la connaissance de l'autre ?
Perso, je trouve qu'aimer, c'est perdre son temps.On est rarement payée de retour !
Mais c'est la vie, surtout si on est jeune, on tombe amoureuse hélas.
désolée, Fidji, ce que tu racontes sur Marseille et sa ballade en bateau est erroné.
Tu as du venir un jour de grand mistral,
J'ai fait la promenade en bateau dans les calanques , avec une colloc, et je te
garantis que nous allons le refaire bientot. un régal, ya qu'à voir la file d'attente
au Vieux Port.
bonsoir,
j'ai vécu 5 ans à MARSEILLE et cette balade dans les calanques, je ne l'ai fait qu'une fois car j'ai été traumatisée. J'ai vraiment failli faire pipi dans ma culotte.
EN VAU, c'était MA calanque : baignade et piques-nique.
Dini a écrit :
bref dès fois quand l'autre est malade, faible, ... et qu'on l'aide, on compatit, qu'on s'occupe d'elle, ... ça nous fait aussi une raison de vivre, un objectif, un projet.
Le jour ou on sent qu'elle va mieux, qu'elle est sur la bonne voie, ... du coup on se sent de plus en plus inutile, sans projet, sans but ... ça peut devenir frustrant quand tout était concentré sur cet objectif et que cet objectif n'a plus lieu d'etre ....
C'est exactement ce qui se passe avec une autre pathologie: l'alcoolisme.
J'ai longtemps fréquenté les Alcooliques Anonymes et il y avait un autre groupe: les Al Anon, ce sont les conjoints amis, proches de l'alcoolique. Ils suivent AUSSI un programme, car la maladie déteint sur eux.
Grâce à ce programme, il arrivent à accompagner le malade pendant sa maladie, mais aussi et surtout quand il redevient sobre et qu'il reprend sa place.
Patrick
SEP primaire progressive depuis 2002, seul traitement: le régime Seignalet depuis fin mars 2009
Patrick, tu consommais beaucoup d'alcool ?
je suis d'un milieu ouvrier et dans ce milieu, je pense que "pour tenir" , les hommes se détendaient avec l'alcool et les clopes et ensuite, ils étaient prisonniers du produit.
Il faut faire la différence entre un malade alcoolique (il l'est de naissance, mais cela ne se déclare que quand il commence à boire de l'alcool) et un gros buveur qui boit quand il en a envie (souvent) contrairement à l'alcoolique qui boit parce qu'il en a besoin.
Patrick
SEP primaire progressive depuis 2002, seul traitement: le régime Seignalet depuis fin mars 2009
Un truc qui marche pour moi, avant, je pleurais...douloureusement. (yeux fragiles):
Dorénavant, je procède du haut en bas.
Je coupe d'abord le haut...
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J ai pas trouvé mieux que le masque de plongée non plus, ou les lunettes de piscine , mais parfois on à la flemme d'aller les chercher et les mettre...
j'ai commencé le régime seignalet il y a un peu plus de 2 ans suite à une SPA.
Les effets du régime ont été globalement assez...
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C'est vrai que je ne me suis jamais documenté sur les compléments alimentaires et vitamines depuis mes 2 ans de régime.
J'avoue aussi que la cuisson...
bonsoir,
voilà depuis mon opération de fistule anale l'an passé en avril , je me disais que le point d'origine non trouvé par le chir pour moi était...
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la musique me permet de ne pas penser, elle me transporte dans le temps passé ou j'allais bien j'ai l'impression de ne plus etre la même,j'ai vu...
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