PLus de cru rend il plus efficace le régime?

[proserpine]

Dernier message de la page précédente :

Tapez pas sur Le Chti ! Il a trop bon coeur !
Un peu d'indulgence, svp : nous, sépiens, on n'a pas vos réactions de désencrassage... du coup, c'est vachement dur à gérer !

Quand même, Alain, fais gaffe : toutes ces petites bouchées, tu risques de le payer !

[Miaou]

Je paie, j'ai attends la limite mais bon ... j'ai compris !!!

[Le chti]

Merci pour vos remarques,

mais, vous savez, les écarts que je vous parle, il y en a eu que trois depuis 2010 et, ça pas été de gros écarts,

le dernier remonte à plus de deux ans.

Et ma dernière dégustation de tabac remonte à décembre 2014

[proserpine]

Alors, oublie ce que j'ai dit !
Bravo
Félicitations

[Le chti]

Proserpine,

Non, j'oublie pas et te remercie de ce rappel.

Gourmand comme je suis, je pourrai me dire bêtement, c'est fini, je peux réintroduire le gluten et le lait petit à petit et.....

paf, laisser la SEP reprendre le dessus,.....

Avec, soit un petit rappel à l'ordre (fatigue, doigts bloqués) ; soit revenir à la canne et aux douleurs quelques mois.

Merci encore de ce rappel et de cette attention

[mirzoune]

Ah, non, déconne pas avec la bouffe, hein! Je veux garder en mémoire l'image de toi tel que je t'ai vu à Chartres! Le mec en forme, sensible et prévenant, amoureux de sa chérie, en train de construire une nouvelle vie! Exemple d'espoir pour nous tous!

[Le chti]

T'inquiète pas Mirzoune,


Je suis trop peureux et amoureux pour ça

[Collette]

Je suis trop peureux et amoureux pour ça

Le ch'ti : c'est trop peureux ou trop'heureux
Ta joie de vivre fait plaisir et redonne le moral à ceux qui en manque. à ta compagne qui sait autant te dynamiser, et bisous à toi aussi, pas de raison

[Le chti]

Colette,

Je pense que, comme beaucoup d'entre nous, ton jeu de mots résume parfaitement la philosophie que j'ai adoptée et que je conseille.

J'ai souvent été dans des situations où le mot ''peureux'' avait toute sa place

et, quand la peur partait ou s'atténuait, le mot heureux reprenait les commandes.

a une période de ma vie, quand j'avais 20 ans, la beauté d'un coucher et/ou d'un lever de soleil me faisait oublier l'uniforme, l'arme que je serrais dans mes mains, l'alarme prête à crier ou à entendre, et je l'avoue à demi-mot, la larme prête à couler.

ces paysages lunaires, ces pierres, ce sable, ces jeux de lumière c'était beau ; les bêtises des copains, leur sourire tristes, rassurants ou complices, bizaremment, j'étais heureux.

Ma conjointe sort de la salle de bains, c'est mon tour,

bonne journée à tous