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J'aimerais bien qu'il y ait toujours une cause moléculaire bien identifiée, et qu'il suffise d'une correction d'alimentation ou d'un supplément miracle pour y remédier, mais il semble que ce ne soit pas toujours si simple !Nous sommes déjà un peu affaibli par ce passage saisonnier vers l'hiver : plus froid, moins d'ensoleillement - je ne parle pas de vitamine D, mais de l'aspect psychologique que cela revêt, et dynamisant pour notre activité (nous sommes des êtres principalement diurnes).
Cela nous rend plus fragiles et plus susceptibles de somatiser des aspects psychologiques, sous la forme de symptômes accrus ou d'un désencrassage par exemple.
Car moi aussi je viens de subir un retour de mon asthme assez important, cela a duré presque 2 semaines et j'en sors tout juste. Aucune raison apparente, aucun écart à Seignalet. Juste le fait, comme toi, d'avoir l'impression de trop manger (surtout noix, oléagineux et craquottes sans gluten). Mais ce n'est pas la première fois et cela ne s'est jamais traduit comme ça. En revanche, une cause psychologique évidente a dû déclencher cela. Que faire ? A mon grand regret j'ai du ressortir la ventoline . Rien à attendre de complément miracle, j'ai juste réduit et simplifié mon alimentation (je n'ai pas eu le courage de jeûner...), et attendu humblement que cela passe. Très grosse frustration pendant ce temps : alors que je pouvais danser pendant des heures sans être à bout de souffle, j'en étais réduit à devoir me reposer une demi heure après avoir monté quelques marches d'escalier...
"Moralité" : ne pas oublier que des causes psychologiques même inconscientes peuvent se manifester par une recrudescence des symptômes, comme si un désencrassage physique accompagnait un désencrassage mental et émotionnel. C'est sans doute la saison pour cela, il faut juste l'accueillir avec humilité, supporter l'inconfort pendant ce nettoyage en essayant de comprendre ce qu'il peut signifier pour nous, et repartir du bon pied !
Courage !